mercredi 15 septembre 2021

La Cour d'Appel de Versailles est un lieu magique

 

Mes démêlés avec la tutrice de ma mère n'ont pas que des inconvénients.

Sans eux et en l’occurrence sans le énième procès que m'a intenté l'avocate de cette tutrice je n'aurais pas connu les très beaux bâtiments de la Cour d'Appel de Versailles.


C'est un lieu magique … et chargé d'histoire : Louis XIV acquit le terrain en 1672 et y fit construire des écuries. Dix ans plus tard il en fit construire d'autres en face du château plus vastes et plus commodes.


Il fit alors don des anciennes écuries à son épouse Marie Thérèse d'Autriche.


A la révolution les lieux furent transformés en maison d'arrêt puis ils abritèrent un hôpital militaire au moment des guerres napoléoniennes.


L'armée s'y installa à l'époque de la Restauration et y demeura jusqu'en 1968 date à laquelle l'adifice fut affecté au Ministère de la Justice.


Ce cadre majestueux était parfaitement adapté aux prétentions parfaitement versaillaises de l'ex-tutrice de ma mère qui, une fois de plus demande des sommes phénoménales en dédommagement des préjudices que je lui aurais causés en la harcelant... Et oui, en effet je l'ai harcelée , bombardée de mails, courriers LRAR et fax , car il faut quand même savoir que jamais, absolument jamais cette dame n'a daigné me répondre. Or,elle était payée, 300€ par mois quand même, pour accomplir un certain nombre de tâches qu'elle n'a jamais absolument jamais accomplies. Connaissant mon tempérament un peu impulsif je le reconnais, elle savait parfaitement bien que, de mon côté le temps finirait par monter et que je finirais par me mettre dans mon tort. 

 Je l'imagine, elle qui n'a jamais eu une seconde pour s 'occuper de ma mère, passant des heures et des heures à collecter mes mails à les faire photocopier, à faire des constats d'huissier, de façon, le moment venu à pouvoir m'extorquer des sommes d'argent absolument phénoménale.


Hier, pour la énième fois son avocate a joué, à l'intention de la cour, la grande scène du 2, sa cliente, épuisée par mon «  harcèlement » a dû prendre un arrêt de travail prolongé en 2017 car mes agissements l'avaient menée, pauvre chérie, à la dépression. Et comme Madame a un statut de travailleur indépendant elle n'a aucune indemnité journalière et donc c'est à moi de la dédommager...


Ben voyons … ce que son avocate se garde bien de dire c'est que sa cliente en me poussant sciemment et volontairement à bout par son silence borné et son inertie a trouvé un ingénieux moyen de s'offrir des vacances aux frais de la princesse.


Elle m'a donné une idée et si je demandais , moi, à cette tutrice de nous dédommager pour les énormes préjudices qu'elle nous a causés, sachant que j'ai toutes les preuves, absolument toutes les preuves de ces préjudices ? Il faudrait donc que je m'adresse à la Justice or a t on jamais vu la Justice condamner un de ses membres ?


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