Diagnostic médical sur les réseaux sociaux ... méfiance !
Dans les groupes FB consacrés aux abus tutélaires on voit parfois des internautes , surgis d'on ne sait où , qui se plaignent d'avoir été mis ou d'être menacés d'être mis sous tutelle ou curatelle de façon abusive.
Immédiatement d'autres internautes, qui ne connaissent strictement rien de cette personne, qui n'ont pas eu connaissance de son dossier, qui n'ont jamais vu ni échangé avec cette personne accourent à son secours et lui confirment que oui cette mise sous tutelle est " forcément " abusive.
Les juges et les experts sont tous des " corrompus " qui sautent sur des gens parfaitement sains d'esprit pour les mettre sous cloche parce que " ça rapporte du fric"
Ces bons samaritains n'ont en général aucune formation en médecine et encore moins en psychiatrie mais dans leur cerveau étroit il y a la certitude que la personne qui débarque en hurlant qu'elle est saine d'esprit EST en réalité saine d'esprit et le diagnostic est vite posé : l'intervenant est forcément crédible ...
Viennent alors les conseils et les tuyaux pour échapper à une mesure aux yeux de ces ignorants, cruelle et injuste : On leur explique que faire pour contourner la loi , on leur donne des tuyaux souvent bidon et que les intervenants suivent aveuglément car bien sûr les gens des tutelles leur veulent du mal et les gentils facebookiens leur veulent du bien .
Certes, il existe de nombreux cas de tutelle abusive il faut le dénoncer et personnellement je ne fais que ça à longueur de journée mais dans certains cas la mesure est absolument nécessaire et abonder dans le sens de la prétendue victime est non seulement grotesque mais dangereux et risque de se retourner contre elle.
Il est bien sûr positif que les personnes ayant des problèmes avec les tutelles se retrouvent sur les réseaux sociaux pour échanger entre elles ou apporter leur témoignage amis à mes yeux ceux qui posent des diagnostics médicaux et psychiatriques en ligne sont des dangers publics.
mardi 31 juillet 2018
lundi 30 juillet 2018
Etant tenue au secret professionnel, je ne puis vous donner les détails, déclare la tutrice !!!
undi 30 juillet 2018
Etant tenue au secret professionnel, je ne puis vous donner les détails, déclare la tutrice !!!
Etant tenue au secret professionnel, je ne puis vous donner les détails, déclare la tutrice !!!
ça rappelle furieusement les collaborateurs d'Emmanuel Macron à l'Elysée qui refusent de répondre clairement à la Commission d'enquête....
La tutrice se contente de généralités et répond à côté de la plaque aux questions précises que je lui pose :
ci dessous le mail que 'ai envoyé à la tutrice et à son avocat , et la réponse de celle-ci, avec, en rouge, mes remarques
Mon mail
Il y a a une quinzaine de jours je vous ai adressé un mail pour vous informer qu'une des " protégées" de la tutrice Madame CC, s'inquiétait car elle avait remarqué depuis plusieurs mois des prélèvements à partir de on compte et en direction de votre compte, alors qu'elle ne vous connaît absolument pas, et des prélèvements en direction de la société Immotut qu'elle ne connaît pas davantage...
De plus, elle a appris que son appartement de la rue Condorcet a été vendu pour la somme qui nous paraît à tous dérisoire de 120.000 ! cetres Madame H avait donné son accord pour la vente de cet appartement mais elle n'a pas été consultée sur le montant !
Vous avez répondu à mon mail en me disant que vous le transfériez à la tutrice ...
Celle-ci n'a malheureusement toujours pas contacté sa " protégée " alors que Madame H depuis plus de six mois a écrit partout pour avoir des explications concernant ses comptes, à sa tutrice qui ne lui répond jamais, au Juge des tutelles, au Consulat d'Espagne...
Non seulement Madame H n'a jamais eu la moindre réponse à ses questions légitimes mais en plus elle vient d'apprendre qu'elle ne recevrait plus ses relevés de compte !
S'agirait - il d'une mesure de représailles ?
Madame H est dans un état de grande anxiété, je vous rappelle qu'elle a 86 ans et que toutes ces cachotteries concernant SON argent la rendent malade.
Elle a d'ailleurs fait ces derniers jours un malaise et il est trop facile de mettre celui-ci sur le compte de la chaleur.
Madame H a de nombreuses fois téléphoné à sa tutrice, qu'elle n'a pas vue depuis 6 mois ! mais celle-ci ne répond jamais.
J'ai moi-même téléphoné au cabinet de Madame Chabot et suis tombée sur la secrétaire qui m'a dit que la tutrice n'était pas là..
Je vous répète que je suis très inquiète pour la santé de Madame H.
Elle va être obligée de prendre un avocat puisqu'il n'y a pas d'autre moyen pour elle d'avoir les informations auxquelles elle a pourtant droit.
Mais il y a immense décalage entre les Droits des " protégés " tels qu'ils sont proclamés dans la Charte et la triste réalité.
Réponse de la tutrice
Madame,
Je reviens vers vous suite à vos courriers et mails concernent Mme H
Je suis bien aise de voir que vous vous inquiétez pour elle.
Etant tenue au secret professionnel, je ne puis vous donner des détails. ( Ben voyons, donc aucune explication concernant les virements vers l'avocat FF ou vers la société Immotut)
Cependant, je peux vous indiquer que son appartement a bien été vendu avec son accord et conformément à l'ordonnance rendue par le juge des tutelles. Oui, elle a donné son accord de principe pour la vente mais n'a pas été consultée sur le montant de la vente 120.000€ pour un appartement dans le très chic IXème )
Mme H. est informée de ce qui est fait pour elle et ce, toujours en présence de Mme P référente sociale ville de Paris et de la directrice du foyer. Non c'est faus Madame H n'a aucune explications sur les sommes prélevées
Nous prenons toujours ce temps en réunion afin qu'elle comprenne et que les actions soient reprises par l'équipe du foyer. Vous ne lui donnez aucun explication sur les sommes prélevées
Il n'y a pas de représailles à son égard et les relevés de compte lui sont toujours envoyés chaque mois. jusqu'à maintenant en effet, mais elle a appris que cela ne serait plus le cas à partir de juillet
Concernant son retour en Espagne, c'est également un sujet qui a été abordé en équipe et avec son neveu en Espagne avec lequel je suis également en lien. Le sujet est " abordé depuis 3 ans !!!! Madame H ne veut pas rester en France elle veut retourner en Espagne et sa famille est d'accord
Pour terminer, le juge des tutelles est bien évidemment informé de toutes les actions et questionnements autour de Mme H. Bien évidemment mais la question n'est pas là!
ça rappelle furieusement les collaborateurs d'Emmanuel Macron à l'Elysée qui refusent de répondre clairement à la Commission d'enquête....
La tutrice se contente de généralités et répond à côté de la plaque aux questions précises que je lui pose :
ci dessous le mail que 'ai envoyé à la tutrice et à son avocat , et la réponse de celle-ci, avec, en rouge, mes remarques
Mon mail
Il y a a une quinzaine de jours je vous ai adressé un mail pour vous informer qu'une des " protégées" de la tutrice Madame CC, s'inquiétait car elle avait remarqué depuis plusieurs mois des prélèvements à partir de on compte et en direction de votre compte, alors qu'elle ne vous connaît absolument pas, et des prélèvements en direction de la société Immotut qu'elle ne connaît pas davantage...
De plus, elle a appris que son appartement de la rue Condorcet a été vendu pour la somme qui nous paraît à tous dérisoire de 120.000 ! cetres Madame H avait donné son accord pour la vente de cet appartement mais elle n'a pas été consultée sur le montant !
Vous avez répondu à mon mail en me disant que vous le transfériez à la tutrice ...
Celle-ci n'a malheureusement toujours pas contacté sa " protégée " alors que Madame H depuis plus de six mois a écrit partout pour avoir des explications concernant ses comptes, à sa tutrice qui ne lui répond jamais, au Juge des tutelles, au Consulat d'Espagne...
Non seulement Madame H n'a jamais eu la moindre réponse à ses questions légitimes mais en plus elle vient d'apprendre qu'elle ne recevrait plus ses relevés de compte !
S'agirait - il d'une mesure de représailles ?
Madame H est dans un état de grande anxiété, je vous rappelle qu'elle a 86 ans et que toutes ces cachotteries concernant SON argent la rendent malade.
Elle a d'ailleurs fait ces derniers jours un malaise et il est trop facile de mettre celui-ci sur le compte de la chaleur.
Madame H a de nombreuses fois téléphoné à sa tutrice, qu'elle n'a pas vue depuis 6 mois ! mais celle-ci ne répond jamais.
J'ai moi-même téléphoné au cabinet de Madame Chabot et suis tombée sur la secrétaire qui m'a dit que la tutrice n'était pas là..
Je vous répète que je suis très inquiète pour la santé de Madame H.
Elle va être obligée de prendre un avocat puisqu'il n'y a pas d'autre moyen pour elle d'avoir les informations auxquelles elle a pourtant droit.
Mais il y a immense décalage entre les Droits des " protégés " tels qu'ils sont proclamés dans la Charte et la triste réalité.
Réponse de la tutrice
Madame,
Je reviens vers vous suite à vos courriers et mails concernent Mme H
Je suis bien aise de voir que vous vous inquiétez pour elle.
Etant tenue au secret professionnel, je ne puis vous donner des détails. ( Ben voyons, donc aucune explication concernant les virements vers l'avocat FF ou vers la société Immotut)
Cependant, je peux vous indiquer que son appartement a bien été vendu avec son accord et conformément à l'ordonnance rendue par le juge des tutelles. Oui, elle a donné son accord de principe pour la vente mais n'a pas été consultée sur le montant de la vente 120.000€ pour un appartement dans le très chic IXème )
Mme H. est informée de ce qui est fait pour elle et ce, toujours en présence de Mme P référente sociale ville de Paris et de la directrice du foyer. Non c'est faus Madame H n'a aucune explications sur les sommes prélevées
Nous prenons toujours ce temps en réunion afin qu'elle comprenne et que les actions soient reprises par l'équipe du foyer. Vous ne lui donnez aucun explication sur les sommes prélevées
Il n'y a pas de représailles à son égard et les relevés de compte lui sont toujours envoyés chaque mois. jusqu'à maintenant en effet, mais elle a appris que cela ne serait plus le cas à partir de juillet
Concernant son retour en Espagne, c'est également un sujet qui a été abordé en équipe et avec son neveu en Espagne avec lequel je suis également en lien. Le sujet est " abordé depuis 3 ans !!!! Madame H ne veut pas rester en France elle veut retourner en Espagne et sa famille est d'accord
Pour terminer, le juge des tutelles est bien évidemment informé de toutes les actions et questionnements autour de Mme H. Bien évidemment mais la question n'est pas là!
Publié par Laure Gu
dimanche 29 juillet 2018
Karim, Jules et Gérard ont de sérieux problèmes avec un tuteur de Saint-Gratien ( 95)
Karim, Jules et Gérard ont de sérieux problèmes avec le tuteur Lxxxx de Saint Gratien ( 95)
Karim :
Bonjour
Jules et Gérard, j'ai moi aussi des problème avec M. Laffite de Saint Gratien.
M. Laffite a signé un compromis de vente pour les 2 appartements de mon père pour une sommes dérisoire et en ignorant un autre acheteur qui était prêt à acheté plus chère.
Ne parlons même pas de son refus de communication que ce soit par mail ou téléphone.
Je sais pas quoi faire.
Ma réponse
Bonjour Karim, je voudrais savoir plusieurs choses
Votre père a t il été informé du montant de la vente et a t il donné son accord ?
Comment avez vous vous même été informé du montant ?
Avez vous pris la précaution de faire faire une expertise de l'appt par une agence immobilière ?
Bonjour
Jules et Gérard, j'ai moi aussi des problème avec M. Laffite de Saint Gratien.
M. Laffite a signé un compromis de vente pour les 2 appartements de mon père pour une sommes dérisoire et en ignorant un autre acheteur qui était prêt à acheté plus chère.
Ne parlons même pas de son refus de communication que ce soit par mail ou téléphone.
Je sais pas quoi faire.
Ma réponse
Bonjour Karim, je voudrais savoir plusieurs choses
Votre père a t il été informé du montant de la vente et a t il donné son accord ?
Comment avez vous vous même été informé du montant ?
Avez vous pris la précaution de faire faire une expertise de l'appt par une agence immobilière ?
vendredi 27 juillet 2018
Quand un avocat et un tuteur refusent de répondre aux questions d'un " protégé " et mettent sa santé en danger
e silence de l'avocat FF et de la tutrice ont des répercussions sur la santé de la soi-disant " protégée " Madame H
Mail que je viens d'envoyer à l'avocat star F.F
Maître,
Il y a une quinzaine de jours je vous ai adressé un mail pour vous informer qu'une des " protégées" de la tutrice Madame CC, s'inquiétait car elle avait remarqué depuis plusieurs mois des prélèvements à partir de on compte et en direction de votre compte, alors qu'elle ne vous connaît absolument pas, et des prélèvements en direction de la société Immotut qu'elle ne connaît pas davantage...
De plus, elle a appris que son appartement de la rue Condorcet a été vendu pour la somme qui nous paraît à tous dérisoire de 120.000 ! certes Madame H avait donné son accord pour la vente de cet appartement mais elle n'a pas été consultée sur le montant !
Vous avez répondu à mon mail en me disant que vous le transfériez à la tutrice ...
Celle-ci n'a malheureusement toujours pas contacté sa " protégée " alors que Madame H depuis plus de six mois a écrit partout pour avoir des explications concernant ses comptes, à sa tutrice qui ne lui répond jamais, au Juge des tutelles, au Consulat d'Espagne...
Non seulement Madame H n'a jamais eu la moindre réponse à ses questions légitimes mais en plus elle vient d'apprendre qu'elle ne recevrait plus ses relevés de compte !
S'agirait - il d'une mesure de représailles ?
Madame H est dans un état de grande anxiété, je vous rappelle qu'elle a 86 ans et que toutes ces cachotteries concernant SON argent la rendent malade.
Elle a d'ailleurs fait ces derniers jours un malaise et il est trop facile de mettre celui-ci sur le compte de la chaleur.
Madame H a de nombreuses fois téléphoné à sa tutrice, qu'elle n'a pas vue depuis 6 mois ! mais celle-ci ne répond jamais.
J'ai moi-même téléphoné au cabinet de Madame la tutrice et suis tombée sur la secrétaire qui m'a dit que la tutrice n'était pas là..
Je vous répète que je suis très inquiète pour la santé de Madame H.
Elle va être obligée de prendre un avocat puisqu'il n'y a pas d'autre moyen pour elle d'avoir les informations auxquelles elle a pourtant droit.
Mais il y a immense décalage entre les Droits des " protégés " tels qu'ils sont proclamés dans la Charte et la triste réalité.
mardi 24 juillet 2018
95% des personnes sous tutelle sont satisfaites de leur mesure déclare Yves Faucoup !
95% des personnes sous tutelle sont satisfaites de leur mesure, dixit Yves Faucoup.
Mais qui est Yves Faucoup me direz-vous ? C'est un travailleur social et responsable syndical qui est le porte parole du puissant lobby des tutelles.
Disons qu'Yves Faucoup est aux tutelles ce que Castagner est à l'Elysée.
J'ai donc écrit à plusieurs reprises, en LAR bien sûr, à ce monsieur, au nom de l'Association de Défense des Victimes des Tutelles ADVT pour lui proposer d'échanger, courtoisement bien évidemment sur le sujet des dysfonctionnements tutélaires.
Ce monsieur n'a jamais daigné me répondre mais par contre, il me fait l'immense honneur de lire mon site et même d'y laisser des commentaires...
Et hier j'ai appris , de la bouche ou plutôt de la plume de Monsieur Yves Faucoup que 95% des personnes sont satisfaites de leur mesure de tutelle !!!!!
Je suis tombée sur le c.. car depuis deux ans que je travaille sur les tutelles je reçois au minimum trois coups de fil ou mails de victimes de ces mesures.
Malheureusement Yves Faucoup, qui reproche toujours aux journalistes qui ont le courage de dénoncer les scandales des tutelles de ne pas apporter assez de preuves, ne cite pas ses sources.
Il parle d'une étude récente....
Monsieur Yves Faucoup puisque vous me faites l'honneur de me lire, pourriez-vous m'en dire un peu plus sur cette étude ?
Emmanuel se plaint de l'opacité des tutelles
Emmanuel dénonce l'opacité des tutelles
Le système opaque des tutelles en France
Mail que l'envoie Emmanuel :
Message: Bonsoir à vous tous et toutes,
Je suis en train, de façon imprévue, de mettre à jour les inactions, les équilibres comptables injustifiables, l'abandon sanitaire de ses majeurs "protégés" et le fonctionnement collusoire d'un organisme tutélaire d'une petite communauté de communes de province qui réussit à faire taire les médecins courageux les et avocats fougueux au départ qui ont essayé de s'insurger.
De manière institutionnalisée. Et vous savez d'où viennent les institutions. Comme dans un roman de Simenon.
Sauf que ma mère est une des héroïnes-victimes de ce silence organisé. À ma grande stupéfaction crescendo depuis 2 mois
Un avocat apparemment intègre et combatif va être en support de cette démarche et me représenter.
J'ai également besoin de la presse par le biais d'une interview ou d'une enquête indépendant et j’ai besoin d’élu.e.s indépendant.e.s., du soutien de belles associations malheureusement expertes de colère contenue mais de détermination sans faille.
Je suis trop émotionnel et trop "visible" pour m'en occuper maintenant. Mais je ne veux plus que cette situation perdure pour ma mère comme pour les autres pupilles de ce "bon vieux père de famille" sans état d'âme et âpre au gain qu'est, en autres, le système opaque de la tutelle en France.
C'est abject et dramatique.
Dans l'attente de votre retour.
Bien cordialement,
Emmanuel
Ma réponse,
Bonjour Emmanuel,
Vous me dites avoir besoin du soutien de la presse et d'élus, n'hésitez pas à les contacter vous-même car rien ne tombe du ciel.
Notre association a déjà fait beaucoup de démarches en direction des députés et des sénateurs ( vous trouverez les courriers que nous leur avons adressés ainsi que les actions que nous avons menées sur notre blog https://www.advttutelles.com)
Pour ce est du soutien des Associations sachez que celles-ci font ce qu'elles peuvent mais ne sont efficaces que si les adhérents se comportent en membres actifs et non en simples " consommateurs " attendant que tout tombe tout cuit.
Voici le lien vers le site de notre Association de Défense des Victimes des Tutelles
http://www.advttutelles.com/p/fonctionnement-de-lassociation.html
Le système opaque des tutelles en France
Mail que l'envoie Emmanuel :
Message: Bonsoir à vous tous et toutes,
Je suis en train, de façon imprévue, de mettre à jour les inactions, les équilibres comptables injustifiables, l'abandon sanitaire de ses majeurs "protégés" et le fonctionnement collusoire d'un organisme tutélaire d'une petite communauté de communes de province qui réussit à faire taire les médecins courageux les et avocats fougueux au départ qui ont essayé de s'insurger.
De manière institutionnalisée. Et vous savez d'où viennent les institutions. Comme dans un roman de Simenon.
Sauf que ma mère est une des héroïnes-victimes de ce silence organisé. À ma grande stupéfaction crescendo depuis 2 mois
Un avocat apparemment intègre et combatif va être en support de cette démarche et me représenter.
J'ai également besoin de la presse par le biais d'une interview ou d'une enquête indépendant et j’ai besoin d’élu.e.s indépendant.e.s., du soutien de belles associations malheureusement expertes de colère contenue mais de détermination sans faille.
Je suis trop émotionnel et trop "visible" pour m'en occuper maintenant. Mais je ne veux plus que cette situation perdure pour ma mère comme pour les autres pupilles de ce "bon vieux père de famille" sans état d'âme et âpre au gain qu'est, en autres, le système opaque de la tutelle en France.
C'est abject et dramatique.
Dans l'attente de votre retour.
Bien cordialement,
Emmanuel
Ma réponse,
Bonjour Emmanuel,
Vous me dites avoir besoin du soutien de la presse et d'élus, n'hésitez pas à les contacter vous-même car rien ne tombe du ciel.
Notre association a déjà fait beaucoup de démarches en direction des députés et des sénateurs ( vous trouverez les courriers que nous leur avons adressés ainsi que les actions que nous avons menées sur notre blog https://www.advttutelles.com)
Pour ce est du soutien des Associations sachez que celles-ci font ce qu'elles peuvent mais ne sont efficaces que si les adhérents se comportent en membres actifs et non en simples " consommateurs " attendant que tout tombe tout cuit.
Voici le lien vers le site de notre Association de Défense des Victimes des Tutelles
http://www.advttutelles.com/p/fonctionnement-de-lassociation.html
dimanche 22 juillet 2018
Revenons un peu sur la mort de Michel B
La tutelle et la mort sont intrinsèquement liées.
Ne parle - t -on pas de " morts civils " pour désigner les personnes sous tutelle ou curatelle ?
Les " protégés" , on le sait sont, du fait de cette mesure particulièrement barbare et inhumaine privés de tous leurs droits civiques.
Récemment, dans le cadre de la réforme de 2009 sur les tutelles on a bien fait un petit geste envers ceux que l'on appelait encore il y a dix ans " les incapables " en leur accordant le droit de vote.
Mesure démagogique et hypocrite destinée à démontrer que les mentalités avaient changé , que désormais la dignité du " protégé" allait être davantage respectée ...
Un bureaucrate des tutelles avait pondu un slogan stupide et creux " Il faut placer le protégé au centre du dispositif "
Enfumage total, tout le monde le reconnaît , la Cour des Comptes, le Défenseur des Droits, tout le monde le constate depuis la réforme de 2009 non seulement rien n'a changé mais euela situation a encore empiré.
Mais la tu(e)telle n'entraîne pas seulement la mort civile du ' prtotégé ' elle tue parfois pour de bon.
J'ai plusieurs cas en-tête mais bien évidemment c'est la mort tragique de la malheureuse Sylvie Velghe qui vient imméditement à l'esprit de chacun quand on évoque cette tueuse silencieuse qu'est la tu(e)telle.
Il y a un peu plus de deux ans le corps sans vie de cette jeune femme de 33 ans avait été retrouvé momifié dans son appartement du Blanc Seau à Tourcoing. Elle pesait 29kg
L'autopsie avait conclu à une mort par dénutrition et estimé la durée de l'agonie à deux mois.
L'affaire avait ému l'opinion et le Maire de Tourcoing , à l'époque Gérald Darmanin avait fait ouvrir une enquête : en effet Sylvie Velghe avait été placée sous curatelle quelques années auparavant et la mesure qui aurait dû être reconduite en 2015 ne l'a pas été dans les faits : Sylvie Velge n'ayant pas répondu à ses convocations la mesure a été , de façon légale, déclarée caduque.
J'ouvre une parenthèse pour dire que je suis toujours sidérée d'entendre des abrutis dispenser de bons tuyaux sur Internet et conseiller aux personnes sous tutelle de ne pas répondre aux convocations du Juge afin que la mesure tombe d'elle -même.
Il existe quand même des cas - il faudrait être stupide pour ne pas le reconnaître - où la tutelle s'avère utile voire indispensable !!!!
Dans le cas de Sylvie Velghe le renouvellement de la mesure aurait peut-être empêchée sa mort.
L'enquête a conclu à la non responsabilité des services tutélaires dans le décès de Sylvie Velghe.
On peut tout de même s'interroger sur l'inefficience de l'Association Ariane qui gérait le " cas " ou le " dossier " comme ils disent élégamment Sylvie Velghe.
Celle-ci avait été placée sous curatelle car elle souffrait d'anorexie. Il s'agit d'une maldie grave et hélas parfois mortelle.
Pour être tout à fait honnête et objectif il faut quand même rappeler qu'hélas les décès liés à l'anorexie sont très élevés et ce même si la personne est entourée et même si elle est hospitalisée. Dans certains cas la médecine est impuissante.
N'empêche on ne peut se demander pourquoi le curateur de Sylvie Velghe ne s'est pas inquiété lorsqu'il a constaté qu'elle ne se répondait plus aux convocations.
A- t-il été seulement une fois la visiter ? s'est-il préoccupé de la faire suivre par un médecin voire de la faire hospitaliser ?
Lors de l'enquête l'Association n'a cherché qu'à se justifier, à mettre en avant la légalité du non renouvellement de la mesure par le Juge des tutelles, mais elle a semblé peu émue par la mort tragique de Sylvie Velghe , en gros je réumerais ainsi la position de l'Association : C'est dommage pour elle, mais nous n'y sommes pour rien.....
ça fait froid dans le dos et ça en dit long sur l'inhumanité et l'indifférence des services tutélaires.
Je reommande la lecture de l'opus de Philippe Kié " Je " est une chose, dans lequel l'auteur dénonce la " chosification" des prétendus protégés par un système tutélaire de plus en plus déshumanisé et le passage qu'il consacre à Sylvie Velghe.
La mort étrange et non élucidée de notre ami FB Michel B.
Je ne donne que l'initiale de son nom, parce que Michel avait une famille et que celle-ci pourrait ne pas apprécier de voir son nom sur les réseaux sociaux.
La plupart des lecteurs de ce site connaissaient Michel et se souviennent parfaitement bien de lui - il avait une sacrée personnalité ! - mais pour les petits nouveaux je fais un petit rappel des faits :
Il aimait la nature, l'écologie et Johnny Hallyday... et il haïssait le système tutélaire, ce en quoi il avait toute ma sympathie, et a passé les derniers six mois de sa vie à vitupérer contre sa mise sous curatelle , mesure qu'il jugeait parfaitement infondée et abusive.
Et puis un beau jour, le 9 décembre 2017, il est mort... de mort non naturelle et aujourd'hui , 6 mois après sa mort, celle-ci n'est toujours pas élucidée.
J'ai toujours pensé que Michel aurait souhaité que sa parole continue d'être entendue après sa mort et que l'aynt fréquenté quotidiennement pendant 6 mois sur les réseaux sociaux je pouvais me permettre d'être son porte voix.
Mais j'ai hésité à le faire car je ne le connaissais que via les réseaux sociaux, je ne le connaissais pas " en vrai ". Je ne l'ai jamais rencontré pour dire la vérité.
Mais depuis sa mort, j'ai été contactée par un certain nombre de gens qui eux l'ont bien connu et m'ont fourni un certain nombre d'éléments qui premettent de mieux appréhender la situation.
Certaines de ces personnes aimaient beaucoup Michel un personnage toujours enjoué et de bonne humeur malgré tous les problèmes qu'il rencontrait ( logement insalubre, curatelle abusive, hostilité des gens de son village envers lui)
D'autres étaient beaucoup plus réservés et voyaient en lui un manipulateur qui rendait le monde entier ( son propriétaire, le maire du village ami de son propriétaire, les gens de l'Ars et sa curatrice ) responsables de tous ses mallheurs...
Je n'ai aucune raison de me ranger dans le camp des pro ou des anti Michel...
Tout ce qui m'interesse moi c'est d'essayer de faire comprendre que oui sa mise sous curatelle, dont il a tant souffert, me paraît une mesure aussi cruelle qu'imbécile, elle était paraît il destinée à le protéger de lui-même mais en quoi l'a t elle protégé puisqu'il est mort ????? et à propos de sa mort je pense qu'il est nécessaire d'essayer de comprendre comment les choses se sont vraiment passées.
Il y a environ un an Michel a commencé à intervenir sur tous les groupes FB consacrés aux tutelles.
Ses interventions étaient aussi nombreuses que virulentes : il s'en prenait au maire de son village, àu propriétaire de son logement et à sa curatrice qu'il appelait sa " mandataire tortionnaire " .
Il avait deux pages FB l'une consacrée " aux bienfaits de dame nature " et l'autre " aux amis de l'habitat indigne "
Il vivait semble t il assez chichement et se plaignait très fréquemment de sa " mandataire judiciaire qui ne lui accordait que 60 € par semaine.
Aurait-elle pu ou dû lui donner davantage ? cela est peu probable : Michel était aux minima sociaux et une fois le loyer, les charges, l'électricité payés + les assurances de deux vieilles voitures+ la nourriture de ses animaux +son tabac, il ne devait pas rester grand chose sur ses comptes ...
Très honnêtement je ne pense pas que sa mandataire aurait pu lui donner plus...
Ce qui est sûr en tout cas c'est que sa mesure de curatelle lui était intolérable. C'était un amoureux de la liberté , un gentil anar qui n'était pas du tout fait pour vivre en captivité.
Malgré sa souffrance et ses conditions de vie difficiles Michel était un être joyeux et qui ne se contentait pas de poster des textes revendicatifs et anti-tutelles il postait quasi quotidiennement des images de plantes assorties généralement d'une explication botanique et nous en envoyait souvent en MP.
Il s'exprimait dans un français très correct, sans faute de syntaxe ou d'orthographe et ses posts étaient toujours rédigés dans une langue claire et compréhensible. ce qui n'est pas forcément le cas de toutes les personnes sous tutelle...
Il semblait disposer de toutes ses facultés mentales et cognitives et je n'ai jamais compris les raisons de sa mise sous curatelle. Certes, Il était manifestement atteint du syndrome de Diogène mais aux dires de sa curatrice que j'ai eue au téléphone c'est le motif de " psychose paranoïde " qui aurait été la cause de sa mise sous curatelle ...
Il se trouve que j'ai eu l'occasion d'écouter l'enregistrement de l'expertise psy de Michel.
J'ouvre une parenthése pour dire que ces fameuses " expertises " sont de plus en plus contestées et devraient selon moi être systématiquement enregistrées voire filmées.
L'entretien avec le psy a duré une trentaine de minutes et s'est parfaitement bien déroulé. Michel s'est montré calme et courtois et a répondu de façon très claire aux questions que lui a posées le psy.
A mon humble avis celui-ci a dû fonder son diagnostic sur l'état de l'appartement de Michel : une accumulation absolument invraissemblable d'objets de toutes sortes, des boîtes de nourriture périmées depuis longtemps, des sanitaires délabrés et inutilisables, la présence de rongeurs, un poêle à bois manifestement HS et qui aurait pu être la cause d'un incendie...
Michel avait réponse à tout : c'était à lui, en tant que locataire de faire réparer la chasse d'eau des WC mais ses moyens ne le lui permettaient tout simplement pas d'assumer ce genre de dépenses. Quant aux milliers d'objets qui étaient accumulés dans l'appartement, Michel les destinait à un Musée vivant de la nature et avait projeté de les installer dans le hangar dont le propriétaire lui aurait promis la jouissance lors de la signature du bail en 2013... Pour les rongeurs, Michel avait résolu le problème en ayant des chats. Pour ce qui était de l'hygiène corporelle oui les sanitaires étaient totalement inutilisables mais Michel avait des amis qui lui permettaient de venir prendre une douche chez eux.
Pour les services de l'ARS et le psy qui a examiné Michel , celui-ci souffrait manifestement du syndrome de Diogène et mettait sa vien en danger : en cas d'incendie chez lui l'accumulation abolument invraisemblable d'objets entassés chez lui aurait dangereusement compliqué l'évacuation des lieux.
Suite à une visite effectuée au domicle de Michel l'ARS avait rendu le rapport suivant :
"Notre enquête a permis de relever un défaut grave d'entrtien intérieur du logement avec l'accumulation d'objets mais également de déchets putrescibles pouvant nuire gravement à votre santé. En effet la présence, dans un espace clos, de denrées alimentaires non protégées peut attirer des nuisbles et être à l'origine de maldies infectieuses ou parasitaires.
Par ailleurs des encombrants facilement inflammables sont stockés autour de l'appareil de chauffage à combustion. Le risque de propagation est important d'autant que e fourneau à bois est vétuste et n'a fait l'objet d'aucun entretien récent. En outre, compte tenu de l'encombrement général de votre logement , en cas d'incendie, l'évacuation sera difficile "
On comprend à la lecture de ce rapport que la mise sous " protection" de Michel partait d'un bon sentiment : il était manifestement atteint du syndrome de Diogène et il paraissait nécessaire de le protéger de lui-même. Bien que très intelligent, Michel en effet, ne semblait pas conscient que l'état d'insalubrité de son logement lui faisait courir des risques très importants tant pour sa santé que pour sa vie.
OK. mais à quoi sert-il de mettre un Diogène sous curatelle ? Son curateur est-il supposé venir faire le ménage chez lui ? Je ne pense pas... Selon moi il est absurde de mettre un Diogène sous curatelle cela n'a aucun sens , cela ne rime à rien. Cette curatelle n'a en aucun cas protégé Michel , sa mort en est la preuve.
Selon eux Michel n'était pas vraiment capable de gérer ses dépenses lui-même : loyer, électricté, nombreux animaux à nourrir, deux vieilles voitures dont il refusait de payer l'assurance, charges, tabac etc alors que Michel touchait le minimum vieillesse soit environ 800€. Chaque jour il intervenait sur les réseaux sociaux en traitant sa curatrice de ' tortionnaire mandatée " lui reprochant de lui faire l'aumone de 70€ par mois mais je ne suis pas sûre qu'elle aurait pu lui donner plus.
Michel a immédiatement fait appel de la décision du Juge, vous trouverez sa lettre de contestation en PJ
En décembre 2017 un ami FB de Michel s'étonnant de ne plus voir les publications de Michel, publications qui étaient quasi quotidiennes a eu le réflexe de prévenir le Maire du village. Le soir même les pompiers le découvraient mort chez lui.
Il s'est donc écoulé une douzaine d'heures entre le signalement fait au Maire le matin à 9 heures et la découverte de son cadavre le soir ... douze heures c'est beaucoup !
Aujourd'hui, six mois après la mort de Michel les circonstances de sa mort ne sont toujours pas élucidées.
Même si sa curatelle lui semblait intolérable l'hpothèse du suicide semble devoir être écartée, et une chose est certaine il n'est en aucun cas mort de faim plusieurs personnes qui le connaissaient bien et qui étaient présentes lors du débarras de son logement me l'ont confirmé : ses placards , tout comme le frigo étaient pleins à craquer de nourriture.
Il n'empêcje que les circonstances de sa mort sont loi d'être claires et que cette mort aurait peut-être pu évitée si " on " avait fait le nécessaire...
Je m'explique : l'ami FB de Michel a prévenu le Maire vers 8 heures du matin.
Le Maire et les gendarmes se sont bien rendus dans la matinée à son domicile et ne sont pas entrés car les portes étaient fermées....
Il faut savoir que les gendarmes n'ont pas le droit de pénétrer au domicile de quelqu'un , c'est en tout cas ce qu'on m'a expliqué.
Tout le monde est reaprti chez soi, sans rien faire de plus...
En fin de soirée les pompiers ont pénétré chez lui et ont découvet son cadavre.
Une enquête a été ouverte il y a eu une autopsie.
On a conclu à une mort accidentelle due à une chute dans son escalier. Sa tête aurait heurté un des objets qui encombraient le logement.. version officielle.
Peut-être que si on était intervenu plus tôt à son domicile la mort de Michel aurait pu être évitée.
Le lendemain de sa mort j'ai téléphoné aux gendarmes pour essayer de comprendre pourquoi les pompiers étaient intervenus si tardivement ... Je suis tombée sur un interlocuteur pressé et désagréable qui n'a rien trouvé de mieux que de casser du sucre sur le dos de Michel, l'accusant d'être par son propre comportment et sa parano la seule cause de ses malheurs.
Il m'a expliqué que si les gendarmes n'étaient pas entrés le matin c'est qu'ils n'en n'avaient pas le droit.
Même son de cloche du côté de sa tutrice qui ne semblait pas porter Michel dans son coeur et s'est même montré presque menaçante :
Elle était bien évidemment au courant des publications tonitruantes de Michel sur FB et de la sympathie que nous avions pour lui.
_ Un conseil Madame, dites aux amis FB de Michel de cesser immédiatement leurs élucubrations sur sa mort. Vous ne connaissiez Michel que par internet vous ne connaissiez qu'une facette du personnage, c'était un manipulateur. Je ne peux pas vous en dire plus, je suis tenue au secret professionnel mais écoutez moi bien : mais vous avez tous intérêt à ne pas raconter n'importe quoi sur vos pages FB. Ne parlez pas de choses que vous ne connaissez pas.
Pour être tout à fait objective, la tutrice n'avait pas complètement tort : sur FB les spéculations allaient bon train : Pour les uns Michel était mort de faim - c'est totalement faux : plusieurs personnes qui connaissaient Michel et sont entrés chez lui après son décès ont pu constater qu'il avait de très nombreuses provisions ... pour d'autres Michel se serait suicidé car il ne supportait pas sa curatelle .. ouais si on se donne la peine de lire les publications de Michel on se rend bien compte que s'il avait la rage contre sa curatelle il n'en avait pas moins une pêche du tonnerre et un tonus exceptionnel surtout pour quelqu'un de son âge 70 balais quand même... et qu'il n'avait aucunement l'intention de se suicider d'ailleurs on se suicide rarement en tombant dans son escalier ou en se cognant contre un objet... D'autres parlaient même d'assassinat : Michel était un joyeux anar qui dérangeait beaucoup de gens et on l'aurait tout simplement supprimé cela aurait fait une bouche en moins à nourrir.
Je comprends que la curatrice se soit un peu énervée à la lecture de toutes ces conneries.
Car ce sont des conneries il faut effectivement le reconnaître.
Quand j'ai appris le décès de Michel j'ai eu le réflexe de relire ses dernière publications sur FB : il se plaignait de cruralgie : a cruralgie est une douleur intense provoquée par une atteinte des racines du nerf crural. La cruralgie est très proche, dans ses causes, ses manifestations et ses traitements de l'atteinte du nerf sciatique. Il y a quelques jours j'étais aux urgences et mon voisin se plaignait de douleurs abominables , il était sous perf de morphine mais il souffrait terriblement malgré tout.
Je pense que Michel qui souffrait de cruralgie est tombé dans son escalier et s'est blessé en tombant.
.
Un de ses amis FB s'étonnant de ne plus voir de publications de lui alors qu'il passait plusieurs heures par jour sur le réseau s'est inquiété et a téléphoné au Maire de Palogneux
Et voici exactement ce qui s'est passé ensuite, ce sont les gendarmes eux-mêmes qui m'ont raconté comment les faits se sont déroulés.
Donc le Maire et les gendarmes se sont rendus au domicile de Michel. ils n'ont rien vu de particulier et n'ont entendu aucun bruit. Les gendarmes n'ont pas pénétré à l’intérieur du domicile car ils n'en avaient pas le droit. Ils sont donc repartis aussitôt.
Ce n'est que tard le soir que les pompiers sont intervenus, j'imagine que l'ami FB de Michel avait dû s'activer et relancer le Maire ... quoi qu'il en soit les pompiers ont trouvé le cadavre de Michel gisant sur le sol.
Une autopsie a eu lieu puisque la mort n'était pas naturelle. L'enquête a été menée très ( trop ?) rapidement puisque, le permis d'inhumer ayant été signé , les obsèques ont eu lieu le surlendemain.
Siles secours étaient intervenus plus tôt peut-être Michel aurait-il été sauvé. Pourquoi y-a-t-il eu un aussi long délai entre le coup de fil passé au Maire à 9 heures du matin et l'intervention des pompiers à 9 heures du soir...
Ce qui est également regrettable c'est que les derniers mois de sa vie ont été empoisonnés l cette histoire de curatelle qu'il ne supportait absolument pas.
La mise sou " protection " de Michel partait sans doute d'un bon sentiment de la part des services sociaux. Je pense qu'ils étaient de bonne foi et qu'ils pensaient qu'il fallait protéger Michel contre lui-même. Mais ma question est En quoi cette curatelle a t elle protégé Michel ? Et de quel droit imposer à quelqu'un une mesure aussi lourde , barbare et inhumaine à quelqu'un qui n'en veut pas ?????
Dans un sens et pour être tout à fait honnête je comprenais un peu son mécontentement, elle se faisait quand même traiter de "mandataire tortionnaire " quatre ou cinq fois par jour et ça dvait un peu la gonfler de voir qu'il lui reprochait continuellement de ne lui donner que 60€ par semaine. Comment aurait-lle pu lui " donnr plus " Ressources de Michel 800€ environ. Dépenses loyer + électricité + nourriture pour un dizaine d'animaux + les assurances et, entre autres celles de deux vieilles voitures + charges etc ... La pauvre fille ne pouvait pas faire de miracles non plus...
Je comprends l'énervement de la tutrice de Michel mais elle aurait quand même pu éviter, tout comme les gendarmes de lui casser autant de sucre sur le dos le lendemain même de sa mort.
Cinq mois après sa disparition ici personne n'a oublié Michel ni ses imprécations tonitruantes contre le système des tutelles qu'il trouvait si inhumain et barbare.
Mettre sa mort sur le dos des tutelles serait une ineptie grandiose , mais il est certain que sa mise sous curatelle lui était intolérable et qu'il a énormément souffert de cette mesure.
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samedi 21 juillet 2018
La Ministre de la Justice Nicole Belloubet se contrefout des tutelles
Nicole Belloubet semble se contrefoutre du problème des tutelles.
Il y a des décennies que le problème des tutelles véreuses se pose sans qu'aucun ministre de la Justice n'ait jugé utile de donner un bon coup de balai dans la fourmillière.
Lorsqu'il était candidat à la Présidence, Emmanuel Macron a été le seul à évoquer le sujet des tutelles et nous pensions naïvement que quelque chose allait se passer.
Ce n'est hélas pas le cas. Lorsque les Associations ou Collectifs anti abus tutélaires s'adressaient aux précédents Ministre de la Justice on les envoyait paître mais on avait au moins la politesse de leur répondre en invoquant la sacro sainte raison de ' l'indépendance des Juges '
Nicole Belloubet, elle, ne se donne même pas la peine de répondre.
Il y avait quelques mois j'avais parvenir à ses services une cinquantaine de témoignages d'adhérents de l'Association de Défense des Victimes des tutelles , c'est un gros dossier qui représente un énorme travail, beaucoup de temps et d'énergie.
Madame Belloubet n'a pas cru bon de répondre.
Le jour où la violence éclatera ça risque de faire très mal, les gens sont à bout.
En attendant, je recpie ici le courrier adressé à la ministre Nicole Belloubet par Jean-François Roussel.
Cet homme, ancien directeur de la SNCF aujourd'hui à la retraite, dénonce depuis 20 ans les très graves malversations de l'Udaf de l'Hérault chargée de la " protection" judiciaire de sa tante et qui, selon JFR , lui aurait en fait subtilisé une très importante somme d'argent.
JF ROUSSEL lundi 18 juin 2018 81 chemin de Lalliat 73250 FRÉTERIVE
Madame la garde des Sceaux Madame Nicole BELLOUBET Ministère de la Justice 13 Place Vendôme 75042 PARIS cedex 01
Mail + lettre suivie : 1K 019 826 5913 2
Objet : Demande de rendez-vous.
Madame la garde des Sceaux,
Fin mars, Monsieur Patrick MIGNOLA, Député de la Savoie, vous a sollicité un rendez-vous avec un membre de votre cabinet ; vous n'avez pas donné suite à sa démarche.
Comme cela vous a été brièvement exposé, la gestion de la 'protection judiciaire' de ma tante par l'UDAF de l'Hérault a mis en évidence les graves malversations de cette UDAF et les menées occultes de plusieurs (hauts) magistrats aux fins de les dissimuler.
Dans ce cadre,
• Monsieur le ministre de l'Intérieur n'a pas nié l'implication de trois DDSP 34 successifs et de policiers de haut rang aux fins d'occulter cette affaire,
• Monsieur le Président de la Banque de France et de l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution n'a pas nié les opérations abusives (assurance-vie, bons au porteur) et détournements réalisés par et avec la complicité d'ALLIANZ-VIE,
• Les Présidents de l'Ordre des Avocats aux Conseils, du Conseil National des Barreaux, du CSN, du CNCEJ, de la CNECJ, etc, n'ont pas nié les manœuvres et/ou parjures de plusieurs de leurs membres aux fins d'occulter les malversations susdites.
Ces constats et l'absence de réponse de la Chancellerie (Cabinet, DACS, DACG, IGSJ) et du CSM confirment, sauf preuves contraires, les menées occultes susdites.
L'implication de MM. LOUVEL et MARIN dans cette affaire est aussi très préoccupante ; des ministres et des responsables politiques accepteraient-ils la contamination de l'institution judiciaire jusqu'en son sommet par la 'mafia des tutelles' ?
Madame CARON-DEGLISE préside actuellement une mission interministérielle dédiée à la protection juridique des majeurs ; je vous saurais gré de bien vouloir lui demander de me recevoir très prochainement, en présence de Monsieur MIGNOLA de préférence, pour que lui soient présentées des preuves irréfutables des graves 'dysfonctionnements judiciaires' et de corruption, liées aux 'tutelles'.
Vous en remerciant par avance,
Je vous prie d'agréer, Madame la garde des Sceaux, l'expression de mes respectueuses salutations.
Copie :
Madame la Ministre des Solidarités et de la Santé, Madame Agnès BUZYN, Madame la Secrétaire d’État aux personnes handicapées, Madame Sophie CLUZEL, Madame la Présidente de l'USM, Madame Virginie DUVAL, Monsieur Patrick MIGNOLA, Député de la Savoie.
Il y a des décennies que le problème des tutelles véreuses se pose sans qu'aucun ministre de la Justice n'ait jugé utile de donner un bon coup de balai dans la fourmillière.
Lorsqu'il était candidat à la Présidence, Emmanuel Macron a été le seul à évoquer le sujet des tutelles et nous pensions naïvement que quelque chose allait se passer.
Ce n'est hélas pas le cas. Lorsque les Associations ou Collectifs anti abus tutélaires s'adressaient aux précédents Ministre de la Justice on les envoyait paître mais on avait au moins la politesse de leur répondre en invoquant la sacro sainte raison de ' l'indépendance des Juges '
Nicole Belloubet, elle, ne se donne même pas la peine de répondre.
Il y avait quelques mois j'avais parvenir à ses services une cinquantaine de témoignages d'adhérents de l'Association de Défense des Victimes des tutelles , c'est un gros dossier qui représente un énorme travail, beaucoup de temps et d'énergie.
Madame Belloubet n'a pas cru bon de répondre.
Le jour où la violence éclatera ça risque de faire très mal, les gens sont à bout.
En attendant, je recpie ici le courrier adressé à la ministre Nicole Belloubet par Jean-François Roussel.
Cet homme, ancien directeur de la SNCF aujourd'hui à la retraite, dénonce depuis 20 ans les très graves malversations de l'Udaf de l'Hérault chargée de la " protection" judiciaire de sa tante et qui, selon JFR , lui aurait en fait subtilisé une très importante somme d'argent.
JF ROUSSEL lundi 18 juin 2018 81 chemin de Lalliat 73250 FRÉTERIVE
Madame la garde des Sceaux Madame Nicole BELLOUBET Ministère de la Justice 13 Place Vendôme 75042 PARIS cedex 01
Mail + lettre suivie : 1K 019 826 5913 2
Objet : Demande de rendez-vous.
Madame la garde des Sceaux,
Fin mars, Monsieur Patrick MIGNOLA, Député de la Savoie, vous a sollicité un rendez-vous avec un membre de votre cabinet ; vous n'avez pas donné suite à sa démarche.
Comme cela vous a été brièvement exposé, la gestion de la 'protection judiciaire' de ma tante par l'UDAF de l'Hérault a mis en évidence les graves malversations de cette UDAF et les menées occultes de plusieurs (hauts) magistrats aux fins de les dissimuler.
Dans ce cadre,
• Monsieur le ministre de l'Intérieur n'a pas nié l'implication de trois DDSP 34 successifs et de policiers de haut rang aux fins d'occulter cette affaire,
• Monsieur le Président de la Banque de France et de l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution n'a pas nié les opérations abusives (assurance-vie, bons au porteur) et détournements réalisés par et avec la complicité d'ALLIANZ-VIE,
• Les Présidents de l'Ordre des Avocats aux Conseils, du Conseil National des Barreaux, du CSN, du CNCEJ, de la CNECJ, etc, n'ont pas nié les manœuvres et/ou parjures de plusieurs de leurs membres aux fins d'occulter les malversations susdites.
Ces constats et l'absence de réponse de la Chancellerie (Cabinet, DACS, DACG, IGSJ) et du CSM confirment, sauf preuves contraires, les menées occultes susdites.
L'implication de MM. LOUVEL et MARIN dans cette affaire est aussi très préoccupante ; des ministres et des responsables politiques accepteraient-ils la contamination de l'institution judiciaire jusqu'en son sommet par la 'mafia des tutelles' ?
Madame CARON-DEGLISE préside actuellement une mission interministérielle dédiée à la protection juridique des majeurs ; je vous saurais gré de bien vouloir lui demander de me recevoir très prochainement, en présence de Monsieur MIGNOLA de préférence, pour que lui soient présentées des preuves irréfutables des graves 'dysfonctionnements judiciaires' et de corruption, liées aux 'tutelles'.
Vous en remerciant par avance,
Je vous prie d'agréer, Madame la garde des Sceaux, l'expression de mes respectueuses salutations.
Copie :
Madame la Ministre des Solidarités et de la Santé, Madame Agnès BUZYN, Madame la Secrétaire d’État aux personnes handicapées, Madame Sophie CLUZEL, Madame la Présidente de l'USM, Madame Virginie DUVAL, Monsieur Patrick MIGNOLA, Député de la Savoie.
vendredi 20 juillet 2018
Remise des comptes de gestion par le tuteur après le décès d'un " protégé "
Remise des comptes de gestion par le tuteur après le décès d'un protégé.
Après le décès de ma mère, en août 2017, j'ai eu toutes les peines du monde à me faire remettre les comptes de gestion par sa tutrice, la fameuse W , dont je n'ai pas le droit de dire le nom car ce serait attenter " à l'honneur et à la réputation de cette personne " comme me l'a dit son avocat.
Après le décès d'un protégé le tuteur doit dans un délai de 3 mois remettre les comptes de gestion des cinq dernières années soit aux héritiers, soit au notaire.
La tutrice a fait exprès de les remettre non pas à moi mais au notaire qu'elle connaît parfaitement bien et dont elle sait parfaitement qu'il refuse toute communication avec moi.
J'ai eu les plus grandes difficultés à obtenir ces comptes de la part du notaire mais quand je les ai eus j'ai remarqué un certain nombre d'anomalies et d'irrégularités pour employer un euphémisme : par exemple des dépenses non justifiées et non accompagnées de justificatifs ou de factures alors que la loi fait obligation au tuteur de remettre ces justificatifs en même temps que les comptes. Ou bien des remboursements de mutuelle non versés sur le compte de ma mère etc.
J'ai signalé ce fait au notaire qui ne m'a même pas répondu.
J'ai envoyé des RAR à W demandant explications et justificatifs , elle n'a pas répondu.
Je lui ai envoyé une sommation interpellative par voie d'huissier de justice, elle n'a pas répondu.
J'ai écrit à la greffière en chef et au Juge des tutelles ils n'ont pas répondu.
J'ai écrit au Procureur de la République il a classé sans suite " faute de preuves " alors que justement j'avais joint toutes les preuves dans mon courrier.
jeudi 19 juillet 2018
voilà le genre de mails qui me bousille les nerfs
Voilà le genre de mails qui me bousillent les nerfs
"Madame,
Je cherche tous les moyens de défense contre des menées tout à fait criminelles et mensongères des services administratifs et sociaux assorties de spoliations de biens d'usage et de prix plus des objets rares. La multiplicité des complicités sur place sont effarantes; Vous n'êtes pas encline à conseiller un avocat. Pourtant face au droit que nul n'est sensé ignorer un conseil avisé est nécessaire. Bien aimable me communiquer quelques informations sur vos actions. Merci par avance. Cordialement. Mademoiselle "
Ma petite remarque perso
Il y a vraiment des gens qui ne comprennent rien à rien ou qui ne veulent rien comprendre .
Je passe maon temps à expliquer que les avocats ne servent à rien sinon à vider les poches des gogos qui croient encore qu'il existe la perle rare, le bon avocat, rarissime que l'Association va leur apporter sur un plateau.
J'en ai ras le bol de ce genre de demandes ! J'explique très clairement et avec honnêteté que l'Association de Défense des Victimes des tutelles a pour premier but de dénoncer et de médiatiser le scandale des tutelles et non pas de trouver l'avocat perle rare qui va résoudre le petit problème perso de Madame Machin truc arc boutée sur son petit problème perso et qui se fout totalement du scandale des tutelles dans son ensemble.
Quand aux actions que je mène, ceux qui veulent les connaître n'ont qu'à se donner la peine de lire le site.
"Madame,
Je cherche tous les moyens de défense contre des menées tout à fait criminelles et mensongères des services administratifs et sociaux assorties de spoliations de biens d'usage et de prix plus des objets rares. La multiplicité des complicités sur place sont effarantes; Vous n'êtes pas encline à conseiller un avocat. Pourtant face au droit que nul n'est sensé ignorer un conseil avisé est nécessaire. Bien aimable me communiquer quelques informations sur vos actions. Merci par avance. Cordialement. Mademoiselle "
Ma petite remarque perso
Il y a vraiment des gens qui ne comprennent rien à rien ou qui ne veulent rien comprendre .
Je passe maon temps à expliquer que les avocats ne servent à rien sinon à vider les poches des gogos qui croient encore qu'il existe la perle rare, le bon avocat, rarissime que l'Association va leur apporter sur un plateau.
J'en ai ras le bol de ce genre de demandes ! J'explique très clairement et avec honnêteté que l'Association de Défense des Victimes des tutelles a pour premier but de dénoncer et de médiatiser le scandale des tutelles et non pas de trouver l'avocat perle rare qui va résoudre le petit problème perso de Madame Machin truc arc boutée sur son petit problème perso et qui se fout totalement du scandale des tutelles dans son ensemble.
Quand aux actions que je mène, ceux qui veulent les connaître n'ont qu'à se donner la peine de lire le site.
mercredi 18 juillet 2018
Porter plainte conte l'UDAF
Porter plainte contre l'UDAF
http://forums.agevillage.com/viewtopic.php?f=4&t=705
Porter plainte contre l'UDAF
http://forums.agevillage.com/viewtopic.php?f=4&t=705
mercredi 18 juillet 2018
porter plainte contre l'UDAF
Porter plainte contre l'UDAF
http://forums.agevillage.com/viewtopic.php?f=4&t=705
DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Jeu 6 Sep 2012 13:53
Je souhaite faire profiter tous les tutélaires de l'expérience malheureuse que j'ai vécu pendant prés de dix huit mois de tutelle de l' UDAF de la Meuse et surtout des ressources pour faire face aux abus, dysfonctionnement ... tout ce qui peut moralement ou financiérement être péjudiciable aux majeurs sous protection!!!
Tout d'abord j'ai demandé à bénéficier d'une mesure de tutelle pour ensuite devant l'étendue des dégâts en obtenir la maine levée.
j'ai déposé plainte auprès de la Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection de la Personne, je compte engager une action au civil directement contre l'assureur de mon ex-tuteur, et déposer plainte auprès du Procureur Général contre tout d'abord l'UDAF de la Meuse mais aussi toutes les institutions départementales chargées de la protection des personnes et qui allertées n'ont pas réagi à commencer par le Procureur.
Vous trouverez ci aprés la liste des griefs retenus contre cette association en regard notamment du Code Social et des Familles, il se pourrait que d'autres organismes semblables commettent les mêmes fautes ou entorses.
Je dois contribuer à ce que cesse de telles pratiques, parce qu'elles m'ont m'amené en enfer.
GRIEFS CONTRE L’UDAF de la Meuse
(Outre ceux exposés dans une lettre du 31 mars 2010 déposée contre accusé de réception au greffe du TI de Bar le Duc, non exhaustivement et sous toutes réserves)
Préliminaire :
J’ai été placé sous tutelle en mars 2009 après en avoir fait la demande en octobre 2008 alors que j’étais victime d’une très grave dépression qui m’a valu trois mois d’hospitalisation dans un établissement spécialisé à Dijon, j’étais alors chef d’entreprise et cette dernière a du être placée en liquidation judiciaire et surtout j’avais de nombreux dossiers juridiques à traiter pour des sommes dépassant les 200 000 €.
A partir de février 2010 j’ai retrouvé mes facultés et notamment ma combativité ce qui m’a permis d’entreprendre les démarches pour obtenir en septembre 2010 la levée de ma tutelle.
-----------------------------
Griefs :
Je n’ai reçu aucune information sur mes droits et mes obligations de tutélaire, aucun document individuel de prise en charge, ni de charte du tutélaire je n’ai eu connaissance d’aucun règlement intérieur, alors que ce sont des obligations légales ; aucun affichage (lui aussi obligatoire) n’est réalisé dans les locaux accessibles au public.
L’absence totale de manifestation des employés de l’UDAF, le manque complet de subside (alors que je perçois mensuellement ma pension d’officier de carrière) de mars jusqu’en novembre 2009 m’a conduit à un isolement total, privé de toute vie sociale, totalement exclu du monde, me laissant avec des angoisses qui m’ont amené au bord du suicide en août 2009, heureusement je m’en suis ouvert auprès de ma famille qui a alors subvenu à mes besoins avec une grande générosité et beaucoup de sollicitude.
Je n’ai rien reçu pendant huit mois et seulement cent trente euros entre novembre 2009 et mars 2010 (malgré toutes mes réclamations verbales et écrites) Autre exemple lorsque je suis allé en avril 2010 pour un mois en maison de repos dans les Alpes, l’UDAF m’a fait parvenir avant mon départ un mandat cash de 40 €, alors que mes frais de transport et d’hospitalisation me demandaient une avance de plus de 700 €.
Les personnels de l’UDAF jusqu’en mars 2010 se sont toujours refusé à honorer sans raison valable mes demandes légitimes notamment concernant un subside mensuel, leur comportement avec moi a toujours était hautain, à la limite méprisant (comme je l’ai constaté avec certains autres tutélaires).
Aucun de mes dossiers juridiques n’a été traité, bien que le délégué à la tutelle qui m’a été alors affecté soit le spécialiste en cette branche de l’UDAF, mais il a été placé en arrêt maladie en juin 2009 et manifestement n’a pas été remplacé pour mon suivi.
La seule procédure en cours n’a pas été suivie et donc les fautes de l’avocat qui me représentait en première instance n’ont pas été relevées et m’ont privé de toute chance m’obligeant à faire appel.
Les autres procès à intenter rapidement (avant avril 2010) ne l’ont pas été et leurs objets sont maintenant prescrits.
De plus une procédure qui concernait une indivision à laquelle j’appartenais n’a pu être engagée puisque c’est l’UDAF qui avait reçu le dossier contenu dans mes affaires et qui a refusé de le remettre à l’indivision malgré plusieurs demandes expresses, ce dossier a finalement été rendu en janvier 2011 alors que la prescription quadriennale devant la juridiction administrative pour engager la responsabilité de la CODECOM de Bar le Duc survenait en décembre 2010.
Le contentieux portait sur une somme de 140 000 €
Mon patrimoine n’a été établi qu’au bout de treize mois (au lieu des trois prévus par la loi).
Il n’a pas été correctement cerné puisque notamment un compte titre en actions n’a pas été pris en compte et laissé en déshérence avec les conséquences que cela implique.
Aucune assurance n’avait été prise pour mon véhicule dont ils ignoraient l’existence.
A la suite de la vente d'une maison en novembre 2009 une somme de 40 000 € est restée entre les mains de l’UDAF qui n’a pas jugé utile de la placer sur un compte rémunérer, malgré la notification du juge des tutelles, là encore perte de plus de 10 mois d’intérêts.
Aucune requête n’a été déposée au juge pour la vente de ma propriété, de plus là encore l’UDAF a toujours agi en contre temps en repoussant pour des raisons infondées la signature du compromis survenu en juillet, elle a d’ailleurs failli faire capoter la vente.
En conséquence de tous ces retards cette dernière a eu lieu le 13 décembre alors que la signature devait survenir avant le 31 août, plus de trois mois d’intérêts sur 100 000 € soit plus de 1000 € de manque à gagner.
Après la levée de ma tutelle l’UDAF a continué à recevoir mon courrier par défaut d’information de sa part puisque elle n’a prévenu aléatoirement qu’un certain nombre de correspondants, elle a même en juin 2011 (neuf mois après la levée de la mesure) acceptée une LRAR qui m’était adressée.
Plus encore en octobre 2010 elle a reçu par huissier une signification de jugement qui m’était destinée, heureusement que mon avocat m’avait lui aussi envoyé l’ordonnance du jugement sinon je n’aurai pas pu faire appel.
Je n’ai toujours pas reçu, malgré mes demandes réitérées, le relevé final de mon compte et les pièces communiquées précédemment sont totalement abscondes puisque codées
-------------------------------
Conclusion :
L’UDAF a non seulement totalement manqué, envers ma personne, à sa mission qui est de contribuer au confort moral et matériel de ses tutélaires mais a eu une attitude qui confine à la maltraitance en me refusant tout subside et en ignorant totalement mes recours puisque malgré toutes mes réclamations notamment écrites, après les refus oraux, je n’ai jamais eu aucune réponse de leur part.
Lorsque j’ai retrouvé à partir de février 2010 mes facultés, ils m’ont « pourri » la vie par leurs refus systématiques et leur propension à s’immiscer sans discernement er surtout sans concertation dans les affaires que je pouvais traiter alors qu’ils savaient pertinemment que j’étais en état de le faire, puisque monsieur XXXXX mon délégué à la tutelle revenu aux affaires l’avait confirmé au cours d’une audience devant la Chambre du Conseil du TC de Ba r le Duc
Après leur totale ignorance de mon existence c’est leur incapacité à prendre en compte l’évolution de mes capacités totalement retrouvées et à en référer au juge qui m’a gravement nui.
Ils savaient pourtant depuis le premier jour que j’étais un cas atypique et la nomination d’un délégué spécialisé en droit le prouve amplement si besoin en était.
Ils ont menti à la députée sarthoise, intervenue à la demande de ma sœur ainée fort inquiète de ma profonde déchéance qu’elle a pu constater en août 2009, par une réponse lénifiante se retranchant derrière le secret professionnel.
Après m’être battu avec le greffe du tribunal et obtenu la levée de ma tutelle en septembre 2010 je suis retombé en dépression à partir de novembre en découvrant les conséquences de l’inaction de l’ UDAF dans mes dossiers juridiques et les prescriptions qui étaient tombées ; cette nouvelle phase dépressive à durer plus de dix huit mois pour se terminer en avril dernier après avoir connu ces trois mois d’hiver particulièrement pénibles où tous les jours j’ai appelé la mort ; cette phase m’avait amené progressivement à me renfermer sur moi même, à quitter ma compagne, après avoir consulté nombre psychiatres et tenté une hospitalisation au CHS de Fains à me retrancher dans un appartement pour ne plus voir personne, sans me laver, en ne sustentant un minimum grâce à une de mes sœurs qui me ravitaillait pendant mon sommeil.
Je ne pouvais même pas consulter car je savais dans mon subconscient que s’il m’était ordonné des médicaments ils serviraient avant tout à mettre fin à mes jours.
J’impute cette rechute surtout à l’UDAF de la Meuse mais aussi aux institutions locales que j'ai en temps opportun alertées : juge des tutelles, procureur (deux dépôts de plaintes sans suites, le premier pas enregistré), les services départementaux de contrôle et sociaux qui ne sont pas intervenus pour faire cesser cette situation qui m’était alors fortement dommageable et dont personne ne connaissait alors l’issue.
C’est essentiellement grâce à ma compagne et à ma famille que j’en suis sorti et que j’ai retrouvé mes facultés, néanmoins les conséquences de cette situation continuent à me «pourrir » la vie, à me prendre beaucoup d’énergie, de temps et d’argent pour faire valoir mes droits, dénoncer ces abus et tenter de ‘’récupérer’’ de ces dix huit mois de manquements de l’UDAF
Bon courage à tous ,
et si je peux aider, je le ferai fraternellement.GGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par laura » Mar 11 Sep 2012 06:49
je trouve votre commentaire curieux ! Ce n'est pas donne a tout le monde d'etre chef d'entreprise, gerant ou proprietaire. L'UDAF ou les gerants de tutelles s'adresse a des gens "incapables" alors comment voulez vous qu'eux memes soient "capable" de gerer et faire fructifier ! Eux ils n'assurent que le courant et n'ont aucune strategie de croissance ou autre. Il n'y a que soit meme qui puisse s'occuper de "ses" affaires, vous etiez vraiment en mauvaise situation pour croire que qui que ce soit puisse s'occuper mieux que vous de vos affaires. Si on pouvait deleguer a n'importe qui ca se saurait !laura Message(s) : 80Inscription : Lun 31 Mars 2008 19:37
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Mar 11 Sep 2012 14:05
Tout d’abord merci pour votre commentaire et je viens vous apporter quelques précisions.
Même s'il est surement vrai que je suis un cas atypique pour ce genre d’organismes de tutelles, cette mesure est là pour ‘’protéger’’ des personnes en ayant le besoin et ne s’adresse pas à un public ‘’particulier’, mais si ils ont pris leurs ‘‘habitudes’’
Etre chef d’entreprise ou gérant et propriétaire (sous emprunts) ne sont pas des signes extérieurs de richesse, mais surtout le résultat d’économies, de volonté d’entreprendre et d’aléas de la vie, pour ma part un mixte des trois ; je suis devenu fin 95 gérant et associé d’une TPME de transport routier de marchandises par pure obligation morale suite à un drame dans ma famille et là mes ennuis ont commencé dès ma prise de fonction avec notamment par la suite deux dépôts de bilans frauduleux ( dont celui de BOURGOIN le ‘’roi du poulet’’) qui m’ont mis pratiquement sur la paille ( perte de l’entreprise, cautions …) et j’ai depuis peu repris un travail pour notamment payer des avocats dans les procédures encore ‘’sauvables’’ ou celle contre l’UDAF.
Après un nouveau coup du sort, qui succédait à douze années de lutte acharnée pour défendre mes droits et mes intérêts et ceux des autres (j’ai été notamment président d’une association de défense) je suis tombé gravement dépressif en quelques jours au point où je ne pouvais même plus m’exprimer oralement…
Personne autour de moi ne pouvait suivre mes démêlès juridiques et gérer la petite entreprise de rénovation que j’avais créé en 2004 c’est donc contrait et forcé, conscient de mon état et de ses conséquences, que j’ai fait cette démarche volontaire.
Mais si je suis intervenu sur ce forum c’est parce que le sort des autre tutélaires, maintenant que j’ai découvert le monde des tutelles et de ses abus, m’interpelle surtout dans la mesure où, comme je l’ai souligné dans la plainte que j’ai déposée à leur demande auprès de la DDCSPP, ce sont tous les intervenants auxquels j’ai été confronté à commencer par leurs instances dirigeantes qui ont failli et que cela a duré près de dix huit mois malgré mon attitude, mes écrits et mes recours, comme s’ils jouissaient d’une impunité totale.
J’ai donc fait le constat qu’il ne s’agissait pas d’un cas isolé dans leurs personnels ou d’un dysfonctionnement passager.et je crains pour tous les autres tutélaires souvent sans moyens, sans facultés…donc sans défenses et un fait divers récent dans la presse locale me l' a rappelé.
Pour mon cas je vais me battre en vue obtenir raison en justice, ce qui pourrait amener des changements de comportement dans cet organisme et bénéficier indirectement aux malheureux tutélaires, en plus de réparer mon lourd préjudice.
J’aimerai aussi, obtenir le témoignage de personnes ayant tenté la même démarche envers leur tuteur, pour encourager ceux qui sont dans la peine à réagir.
Autodidacte, d’origine plus que modeste, je suis pour cela d’autant plus sensible à l’injustice, et prêt à la combattre.GGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Dim 16 Sep 2012 07:16
Al lire dernier nunèro de QUE CHOISIR SPECIAL sur les droits des plus faibles et en particulier mesures de protection de justiceGGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Dim 16 Sep 2012 18:52
QUE CHOISIR SPECIAL de septembre est consacré en grande partie aux mesures de justice et à la protection des personnes vulnérables en généralGGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Mar 7 Avr 2015 09:47
Bonjour,
Je suis toujours à la Rrecherche témoignages de tutélaires, d'anciens tutélaires, de familles ou de proches de tutélaires de l' UDAF de la MEUSE.
Vous pouvez me contacter à ggdebar(arobase)aol.com.GGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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er plainte contre l'UDAF
DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Jeu 6 Sep 2012 13:53
Je souhaite faire profiter tous les tutélaires de l'expérience malheureuse que j'ai vécu pendant prés de dix huit mois de tutelle de l' UDAF de la Meuse et surtout des ressources pour faire face aux abus, dysfonctionnement ... tout ce qui peut moralement ou financiérement être péjudiciable aux majeurs sous protection!!!
Tout d'abord j'ai demandé à bénéficier d'une mesure de tutelle pour ensuite devant l'étendue des dégâts en obtenir la maine levée.
j'ai déposé plainte auprès de la Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection de la Personne, je compte engager une action au civil directement contre l'assureur de mon ex-tuteur, et déposer plainte auprès du Procureur Général contre tout d'abord l'UDAF de la Meuse mais aussi toutes les institutions départementales chargées de la protection des personnes et qui allertées n'ont pas réagi à commencer par le Procureur.
Vous trouverez ci aprés la liste des griefs retenus contre cette association en regard notamment du Code Social et des Familles, il se pourrait que d'autres organismes semblables commettent les mêmes fautes ou entorses.
Je dois contribuer à ce que cesse de telles pratiques, parce qu'elles m'ont m'amené en enfer.
GRIEFS CONTRE L’UDAF de la Meuse
(Outre ceux exposés dans une lettre du 31 mars 2010 déposée contre accusé de réception au greffe du TI de Bar le Duc, non exhaustivement et sous toutes réserves)
Préliminaire :
J’ai été placé sous tutelle en mars 2009 après en avoir fait la demande en octobre 2008 alors que j’étais victime d’une très grave dépression qui m’a valu trois mois d’hospitalisation dans un établissement spécialisé à Dijon, j’étais alors chef d’entreprise et cette dernière a du être placée en liquidation judiciaire et surtout j’avais de nombreux dossiers juridiques à traiter pour des sommes dépassant les 200 000 €.
A partir de février 2010 j’ai retrouvé mes facultés et notamment ma combativité ce qui m’a permis d’entreprendre les démarches pour obtenir en septembre 2010 la levée de ma tutelle.
-----------------------------
Griefs :
Je n’ai reçu aucune information sur mes droits et mes obligations de tutélaire, aucun document individuel de prise en charge, ni de charte du tutélaire je n’ai eu connaissance d’aucun règlement intérieur, alors que ce sont des obligations légales ; aucun affichage (lui aussi obligatoire) n’est réalisé dans les locaux accessibles au public.
L’absence totale de manifestation des employés de l’UDAF, le manque complet de subside (alors que je perçois mensuellement ma pension d’officier de carrière) de mars jusqu’en novembre 2009 m’a conduit à un isolement total, privé de toute vie sociale, totalement exclu du monde, me laissant avec des angoisses qui m’ont amené au bord du suicide en août 2009, heureusement je m’en suis ouvert auprès de ma famille qui a alors subvenu à mes besoins avec une grande générosité et beaucoup de sollicitude.
Je n’ai rien reçu pendant huit mois et seulement cent trente euros entre novembre 2009 et mars 2010 (malgré toutes mes réclamations verbales et écrites) Autre exemple lorsque je suis allé en avril 2010 pour un mois en maison de repos dans les Alpes, l’UDAF m’a fait parvenir avant mon départ un mandat cash de 40 €, alors que mes frais de transport et d’hospitalisation me demandaient une avance de plus de 700 €.
Les personnels de l’UDAF jusqu’en mars 2010 se sont toujours refusé à honorer sans raison valable mes demandes légitimes notamment concernant un subside mensuel, leur comportement avec moi a toujours était hautain, à la limite méprisant (comme je l’ai constaté avec certains autres tutélaires).
Aucun de mes dossiers juridiques n’a été traité, bien que le délégué à la tutelle qui m’a été alors affecté soit le spécialiste en cette branche de l’UDAF, mais il a été placé en arrêt maladie en juin 2009 et manifestement n’a pas été remplacé pour mon suivi.
La seule procédure en cours n’a pas été suivie et donc les fautes de l’avocat qui me représentait en première instance n’ont pas été relevées et m’ont privé de toute chance m’obligeant à faire appel.
Les autres procès à intenter rapidement (avant avril 2010) ne l’ont pas été et leurs objets sont maintenant prescrits.
De plus une procédure qui concernait une indivision à laquelle j’appartenais n’a pu être engagée puisque c’est l’UDAF qui avait reçu le dossier contenu dans mes affaires et qui a refusé de le remettre à l’indivision malgré plusieurs demandes expresses, ce dossier a finalement été rendu en janvier 2011 alors que la prescription quadriennale devant la juridiction administrative pour engager la responsabilité de la CODECOM de Bar le Duc survenait en décembre 2010.
Le contentieux portait sur une somme de 140 000 €
Mon patrimoine n’a été établi qu’au bout de treize mois (au lieu des trois prévus par la loi).
Il n’a pas été correctement cerné puisque notamment un compte titre en actions n’a pas été pris en compte et laissé en déshérence avec les conséquences que cela implique.
Aucune assurance n’avait été prise pour mon véhicule dont ils ignoraient l’existence.
A la suite de la vente d'une maison en novembre 2009 une somme de 40 000 € est restée entre les mains de l’UDAF qui n’a pas jugé utile de la placer sur un compte rémunérer, malgré la notification du juge des tutelles, là encore perte de plus de 10 mois d’intérêts.
Aucune requête n’a été déposée au juge pour la vente de ma propriété, de plus là encore l’UDAF a toujours agi en contre temps en repoussant pour des raisons infondées la signature du compromis survenu en juillet, elle a d’ailleurs failli faire capoter la vente.
En conséquence de tous ces retards cette dernière a eu lieu le 13 décembre alors que la signature devait survenir avant le 31 août, plus de trois mois d’intérêts sur 100 000 € soit plus de 1000 € de manque à gagner.
Après la levée de ma tutelle l’UDAF a continué à recevoir mon courrier par défaut d’information de sa part puisque elle n’a prévenu aléatoirement qu’un certain nombre de correspondants, elle a même en juin 2011 (neuf mois après la levée de la mesure) acceptée une LRAR qui m’était adressée.
Plus encore en octobre 2010 elle a reçu par huissier une signification de jugement qui m’était destinée, heureusement que mon avocat m’avait lui aussi envoyé l’ordonnance du jugement sinon je n’aurai pas pu faire appel.
Je n’ai toujours pas reçu, malgré mes demandes réitérées, le relevé final de mon compte et les pièces communiquées précédemment sont totalement abscondes puisque codées
-------------------------------
Conclusion :
L’UDAF a non seulement totalement manqué, envers ma personne, à sa mission qui est de contribuer au confort moral et matériel de ses tutélaires mais a eu une attitude qui confine à la maltraitance en me refusant tout subside et en ignorant totalement mes recours puisque malgré toutes mes réclamations notamment écrites, après les refus oraux, je n’ai jamais eu aucune réponse de leur part.
Lorsque j’ai retrouvé à partir de février 2010 mes facultés, ils m’ont « pourri » la vie par leurs refus systématiques et leur propension à s’immiscer sans discernement er surtout sans concertation dans les affaires que je pouvais traiter alors qu’ils savaient pertinemment que j’étais en état de le faire, puisque monsieur XXXXX mon délégué à la tutelle revenu aux affaires l’avait confirmé au cours d’une audience devant la Chambre du Conseil du TC de Ba r le Duc
Après leur totale ignorance de mon existence c’est leur incapacité à prendre en compte l’évolution de mes capacités totalement retrouvées et à en référer au juge qui m’a gravement nui.
Ils savaient pourtant depuis le premier jour que j’étais un cas atypique et la nomination d’un délégué spécialisé en droit le prouve amplement si besoin en était.
Ils ont menti à la députée sarthoise, intervenue à la demande de ma sœur ainée fort inquiète de ma profonde déchéance qu’elle a pu constater en août 2009, par une réponse lénifiante se retranchant derrière le secret professionnel.
Après m’être battu avec le greffe du tribunal et obtenu la levée de ma tutelle en septembre 2010 je suis retombé en dépression à partir de novembre en découvrant les conséquences de l’inaction de l’ UDAF dans mes dossiers juridiques et les prescriptions qui étaient tombées ; cette nouvelle phase dépressive à durer plus de dix huit mois pour se terminer en avril dernier après avoir connu ces trois mois d’hiver particulièrement pénibles où tous les jours j’ai appelé la mort ; cette phase m’avait amené progressivement à me renfermer sur moi même, à quitter ma compagne, après avoir consulté nombre psychiatres et tenté une hospitalisation au CHS de Fains à me retrancher dans un appartement pour ne plus voir personne, sans me laver, en ne sustentant un minimum grâce à une de mes sœurs qui me ravitaillait pendant mon sommeil.
Je ne pouvais même pas consulter car je savais dans mon subconscient que s’il m’était ordonné des médicaments ils serviraient avant tout à mettre fin à mes jours.
J’impute cette rechute surtout à l’UDAF de la Meuse mais aussi aux institutions locales que j'ai en temps opportun alertées : juge des tutelles, procureur (deux dépôts de plaintes sans suites, le premier pas enregistré), les services départementaux de contrôle et sociaux qui ne sont pas intervenus pour faire cesser cette situation qui m’était alors fortement dommageable et dont personne ne connaissait alors l’issue.
C’est essentiellement grâce à ma compagne et à ma famille que j’en suis sorti et que j’ai retrouvé mes facultés, néanmoins les conséquences de cette situation continuent à me «pourrir » la vie, à me prendre beaucoup d’énergie, de temps et d’argent pour faire valoir mes droits, dénoncer ces abus et tenter de ‘’récupérer’’ de ces dix huit mois de manquements de l’UDAF
Bon courage à tous ,
et si je peux aider, je le ferai fraternellement.GGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par laura » Mar 11 Sep 2012 06:49
je trouve votre commentaire curieux ! Ce n'est pas donne a tout le monde d'etre chef d'entreprise, gerant ou proprietaire. L'UDAF ou les gerants de tutelles s'adresse a des gens "incapables" alors comment voulez vous qu'eux memes soient "capable" de gerer et faire fructifier ! Eux ils n'assurent que le courant et n'ont aucune strategie de croissance ou autre. Il n'y a que soit meme qui puisse s'occuper de "ses" affaires, vous etiez vraiment en mauvaise situation pour croire que qui que ce soit puisse s'occuper mieux que vous de vos affaires. Si on pouvait deleguer a n'importe qui ca se saurait !laura Message(s) : 80Inscription : Lun 31 Mars 2008 19:37
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Mar 11 Sep 2012 14:05
Tout d’abord merci pour votre commentaire et je viens vous apporter quelques précisions.
Même s'il est surement vrai que je suis un cas atypique pour ce genre d’organismes de tutelles, cette mesure est là pour ‘’protéger’’ des personnes en ayant le besoin et ne s’adresse pas à un public ‘’particulier’, mais si ils ont pris leurs ‘‘habitudes’’
Etre chef d’entreprise ou gérant et propriétaire (sous emprunts) ne sont pas des signes extérieurs de richesse, mais surtout le résultat d’économies, de volonté d’entreprendre et d’aléas de la vie, pour ma part un mixte des trois ; je suis devenu fin 95 gérant et associé d’une TPME de transport routier de marchandises par pure obligation morale suite à un drame dans ma famille et là mes ennuis ont commencé dès ma prise de fonction avec notamment par la suite deux dépôts de bilans frauduleux ( dont celui de BOURGOIN le ‘’roi du poulet’’) qui m’ont mis pratiquement sur la paille ( perte de l’entreprise, cautions …) et j’ai depuis peu repris un travail pour notamment payer des avocats dans les procédures encore ‘’sauvables’’ ou celle contre l’UDAF.
Après un nouveau coup du sort, qui succédait à douze années de lutte acharnée pour défendre mes droits et mes intérêts et ceux des autres (j’ai été notamment président d’une association de défense) je suis tombé gravement dépressif en quelques jours au point où je ne pouvais même plus m’exprimer oralement…
Personne autour de moi ne pouvait suivre mes démêlès juridiques et gérer la petite entreprise de rénovation que j’avais créé en 2004 c’est donc contrait et forcé, conscient de mon état et de ses conséquences, que j’ai fait cette démarche volontaire.
Mais si je suis intervenu sur ce forum c’est parce que le sort des autre tutélaires, maintenant que j’ai découvert le monde des tutelles et de ses abus, m’interpelle surtout dans la mesure où, comme je l’ai souligné dans la plainte que j’ai déposée à leur demande auprès de la DDCSPP, ce sont tous les intervenants auxquels j’ai été confronté à commencer par leurs instances dirigeantes qui ont failli et que cela a duré près de dix huit mois malgré mon attitude, mes écrits et mes recours, comme s’ils jouissaient d’une impunité totale.
J’ai donc fait le constat qu’il ne s’agissait pas d’un cas isolé dans leurs personnels ou d’un dysfonctionnement passager.et je crains pour tous les autres tutélaires souvent sans moyens, sans facultés…donc sans défenses et un fait divers récent dans la presse locale me l' a rappelé.
Pour mon cas je vais me battre en vue obtenir raison en justice, ce qui pourrait amener des changements de comportement dans cet organisme et bénéficier indirectement aux malheureux tutélaires, en plus de réparer mon lourd préjudice.
J’aimerai aussi, obtenir le témoignage de personnes ayant tenté la même démarche envers leur tuteur, pour encourager ceux qui sont dans la peine à réagir.
Autodidacte, d’origine plus que modeste, je suis pour cela d’autant plus sensible à l’injustice, et prêt à la combattre.GGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Dim 16 Sep 2012 07:16
Al lire dernier nunèro de QUE CHOISIR SPECIAL sur les droits des plus faibles et en particulier mesures de protection de justiceGGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Dim 16 Sep 2012 18:52
QUE CHOISIR SPECIAL de septembre est consacré en grande partie aux mesures de justice et à la protection des personnes vulnérables en généralGGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Mar 7 Avr 2015 09:47
Bonjour,
Je suis toujours à la Rrecherche témoignages de tutélaires, d'anciens tutélaires, de familles ou de proches de tutélaires de l' UDAF de la MEUSE.
Vous pouvez me contacter à ggdebar(arobase)aol.com.GGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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er plainte contre l'UDAF
Porter plainte contre l'UDAF
Porter plainte contre l'UDAF
http://forums.agevillage.com/viewtopic.php?f=4&t=705
ercredi 18 juillet 2018
porter plainte contre l'UDAF
Porter plainte contre l'UDAF
http://forums.agevillage.com/viewtopic.php?f=4&t=705
DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Jeu 6 Sep 2012 13:53
Je souhaite faire profiter tous les tutélaires de l'expérience malheureuse que j'ai vécu pendant prés de dix huit mois de tutelle de l' UDAF de la Meuse et surtout des ressources pour faire face aux abus, dysfonctionnement ... tout ce qui peut moralement ou financiérement être péjudiciable aux majeurs sous protection!!!
Tout d'abord j'ai demandé à bénéficier d'une mesure de tutelle pour ensuite devant l'étendue des dégâts en obtenir la maine levée.
j'ai déposé plainte auprès de la Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection de la Personne, je compte engager une action au civil directement contre l'assureur de mon ex-tuteur, et déposer plainte auprès du Procureur Général contre tout d'abord l'UDAF de la Meuse mais aussi toutes les institutions départementales chargées de la protection des personnes et qui allertées n'ont pas réagi à commencer par le Procureur.
Vous trouverez ci aprés la liste des griefs retenus contre cette association en regard notamment du Code Social et des Familles, il se pourrait que d'autres organismes semblables commettent les mêmes fautes ou entorses.
Je dois contribuer à ce que cesse de telles pratiques, parce qu'elles m'ont m'amené en enfer.
GRIEFS CONTRE L’UDAF de la Meuse
(Outre ceux exposés dans une lettre du 31 mars 2010 déposée contre accusé de réception au greffe du TI de Bar le Duc, non exhaustivement et sous toutes réserves)
Préliminaire :
J’ai été placé sous tutelle en mars 2009 après en avoir fait la demande en octobre 2008 alors que j’étais victime d’une très grave dépression qui m’a valu trois mois d’hospitalisation dans un établissement spécialisé à Dijon, j’étais alors chef d’entreprise et cette dernière a du être placée en liquidation judiciaire et surtout j’avais de nombreux dossiers juridiques à traiter pour des sommes dépassant les 200 000 €.
A partir de février 2010 j’ai retrouvé mes facultés et notamment ma combativité ce qui m’a permis d’entreprendre les démarches pour obtenir en septembre 2010 la levée de ma tutelle.
-----------------------------
Griefs :
Je n’ai reçu aucune information sur mes droits et mes obligations de tutélaire, aucun document individuel de prise en charge, ni de charte du tutélaire je n’ai eu connaissance d’aucun règlement intérieur, alors que ce sont des obligations légales ; aucun affichage (lui aussi obligatoire) n’est réalisé dans les locaux accessibles au public.
L’absence totale de manifestation des employés de l’UDAF, le manque complet de subside (alors que je perçois mensuellement ma pension d’officier de carrière) de mars jusqu’en novembre 2009 m’a conduit à un isolement total, privé de toute vie sociale, totalement exclu du monde, me laissant avec des angoisses qui m’ont amené au bord du suicide en août 2009, heureusement je m’en suis ouvert auprès de ma famille qui a alors subvenu à mes besoins avec une grande générosité et beaucoup de sollicitude.
Je n’ai rien reçu pendant huit mois et seulement cent trente euros entre novembre 2009 et mars 2010 (malgré toutes mes réclamations verbales et écrites) Autre exemple lorsque je suis allé en avril 2010 pour un mois en maison de repos dans les Alpes, l’UDAF m’a fait parvenir avant mon départ un mandat cash de 40 €, alors que mes frais de transport et d’hospitalisation me demandaient une avance de plus de 700 €.
Les personnels de l’UDAF jusqu’en mars 2010 se sont toujours refusé à honorer sans raison valable mes demandes légitimes notamment concernant un subside mensuel, leur comportement avec moi a toujours était hautain, à la limite méprisant (comme je l’ai constaté avec certains autres tutélaires).
Aucun de mes dossiers juridiques n’a été traité, bien que le délégué à la tutelle qui m’a été alors affecté soit le spécialiste en cette branche de l’UDAF, mais il a été placé en arrêt maladie en juin 2009 et manifestement n’a pas été remplacé pour mon suivi.
La seule procédure en cours n’a pas été suivie et donc les fautes de l’avocat qui me représentait en première instance n’ont pas été relevées et m’ont privé de toute chance m’obligeant à faire appel.
Les autres procès à intenter rapidement (avant avril 2010) ne l’ont pas été et leurs objets sont maintenant prescrits.
De plus une procédure qui concernait une indivision à laquelle j’appartenais n’a pu être engagée puisque c’est l’UDAF qui avait reçu le dossier contenu dans mes affaires et qui a refusé de le remettre à l’indivision malgré plusieurs demandes expresses, ce dossier a finalement été rendu en janvier 2011 alors que la prescription quadriennale devant la juridiction administrative pour engager la responsabilité de la CODECOM de Bar le Duc survenait en décembre 2010.
Le contentieux portait sur une somme de 140 000 €
Mon patrimoine n’a été établi qu’au bout de treize mois (au lieu des trois prévus par la loi).
Il n’a pas été correctement cerné puisque notamment un compte titre en actions n’a pas été pris en compte et laissé en déshérence avec les conséquences que cela implique.
Aucune assurance n’avait été prise pour mon véhicule dont ils ignoraient l’existence.
A la suite de la vente d'une maison en novembre 2009 une somme de 40 000 € est restée entre les mains de l’UDAF qui n’a pas jugé utile de la placer sur un compte rémunérer, malgré la notification du juge des tutelles, là encore perte de plus de 10 mois d’intérêts.
Aucune requête n’a été déposée au juge pour la vente de ma propriété, de plus là encore l’UDAF a toujours agi en contre temps en repoussant pour des raisons infondées la signature du compromis survenu en juillet, elle a d’ailleurs failli faire capoter la vente.
En conséquence de tous ces retards cette dernière a eu lieu le 13 décembre alors que la signature devait survenir avant le 31 août, plus de trois mois d’intérêts sur 100 000 € soit plus de 1000 € de manque à gagner.
Après la levée de ma tutelle l’UDAF a continué à recevoir mon courrier par défaut d’information de sa part puisque elle n’a prévenu aléatoirement qu’un certain nombre de correspondants, elle a même en juin 2011 (neuf mois après la levée de la mesure) acceptée une LRAR qui m’était adressée.
Plus encore en octobre 2010 elle a reçu par huissier une signification de jugement qui m’était destinée, heureusement que mon avocat m’avait lui aussi envoyé l’ordonnance du jugement sinon je n’aurai pas pu faire appel.
Je n’ai toujours pas reçu, malgré mes demandes réitérées, le relevé final de mon compte et les pièces communiquées précédemment sont totalement abscondes puisque codées
-------------------------------
Conclusion :
L’UDAF a non seulement totalement manqué, envers ma personne, à sa mission qui est de contribuer au confort moral et matériel de ses tutélaires mais a eu une attitude qui confine à la maltraitance en me refusant tout subside et en ignorant totalement mes recours puisque malgré toutes mes réclamations notamment écrites, après les refus oraux, je n’ai jamais eu aucune réponse de leur part.
Lorsque j’ai retrouvé à partir de février 2010 mes facultés, ils m’ont « pourri » la vie par leurs refus systématiques et leur propension à s’immiscer sans discernement er surtout sans concertation dans les affaires que je pouvais traiter alors qu’ils savaient pertinemment que j’étais en état de le faire, puisque monsieur XXXXX mon délégué à la tutelle revenu aux affaires l’avait confirmé au cours d’une audience devant la Chambre du Conseil du TC de Ba r le Duc
Après leur totale ignorance de mon existence c’est leur incapacité à prendre en compte l’évolution de mes capacités totalement retrouvées et à en référer au juge qui m’a gravement nui.
Ils savaient pourtant depuis le premier jour que j’étais un cas atypique et la nomination d’un délégué spécialisé en droit le prouve amplement si besoin en était.
Ils ont menti à la députée sarthoise, intervenue à la demande de ma sœur ainée fort inquiète de ma profonde déchéance qu’elle a pu constater en août 2009, par une réponse lénifiante se retranchant derrière le secret professionnel.
Après m’être battu avec le greffe du tribunal et obtenu la levée de ma tutelle en septembre 2010 je suis retombé en dépression à partir de novembre en découvrant les conséquences de l’inaction de l’ UDAF dans mes dossiers juridiques et les prescriptions qui étaient tombées ; cette nouvelle phase dépressive à durer plus de dix huit mois pour se terminer en avril dernier après avoir connu ces trois mois d’hiver particulièrement pénibles où tous les jours j’ai appelé la mort ; cette phase m’avait amené progressivement à me renfermer sur moi même, à quitter ma compagne, après avoir consulté nombre psychiatres et tenté une hospitalisation au CHS de Fains à me retrancher dans un appartement pour ne plus voir personne, sans me laver, en ne sustentant un minimum grâce à une de mes sœurs qui me ravitaillait pendant mon sommeil.
Je ne pouvais même pas consulter car je savais dans mon subconscient que s’il m’était ordonné des médicaments ils serviraient avant tout à mettre fin à mes jours.
J’impute cette rechute surtout à l’UDAF de la Meuse mais aussi aux institutions locales que j'ai en temps opportun alertées : juge des tutelles, procureur (deux dépôts de plaintes sans suites, le premier pas enregistré), les services départementaux de contrôle et sociaux qui ne sont pas intervenus pour faire cesser cette situation qui m’était alors fortement dommageable et dont personne ne connaissait alors l’issue.
C’est essentiellement grâce à ma compagne et à ma famille que j’en suis sorti et que j’ai retrouvé mes facultés, néanmoins les conséquences de cette situation continuent à me «pourrir » la vie, à me prendre beaucoup d’énergie, de temps et d’argent pour faire valoir mes droits, dénoncer ces abus et tenter de ‘’récupérer’’ de ces dix huit mois de manquements de l’UDAF
Bon courage à tous ,
et si je peux aider, je le ferai fraternellement.GGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par laura » Mar 11 Sep 2012 06:49
je trouve votre commentaire curieux ! Ce n'est pas donne a tout le monde d'etre chef d'entreprise, gerant ou proprietaire. L'UDAF ou les gerants de tutelles s'adresse a des gens "incapables" alors comment voulez vous qu'eux memes soient "capable" de gerer et faire fructifier ! Eux ils n'assurent que le courant et n'ont aucune strategie de croissance ou autre. Il n'y a que soit meme qui puisse s'occuper de "ses" affaires, vous etiez vraiment en mauvaise situation pour croire que qui que ce soit puisse s'occuper mieux que vous de vos affaires. Si on pouvait deleguer a n'importe qui ca se saurait !laura Message(s) : 80Inscription : Lun 31 Mars 2008 19:37
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Mar 11 Sep 2012 14:05
Tout d’abord merci pour votre commentaire et je viens vous apporter quelques précisions.
Même s'il est surement vrai que je suis un cas atypique pour ce genre d’organismes de tutelles, cette mesure est là pour ‘’protéger’’ des personnes en ayant le besoin et ne s’adresse pas à un public ‘’particulier’, mais si ils ont pris leurs ‘‘habitudes’’
Etre chef d’entreprise ou gérant et propriétaire (sous emprunts) ne sont pas des signes extérieurs de richesse, mais surtout le résultat d’économies, de volonté d’entreprendre et d’aléas de la vie, pour ma part un mixte des trois ; je suis devenu fin 95 gérant et associé d’une TPME de transport routier de marchandises par pure obligation morale suite à un drame dans ma famille et là mes ennuis ont commencé dès ma prise de fonction avec notamment par la suite deux dépôts de bilans frauduleux ( dont celui de BOURGOIN le ‘’roi du poulet’’) qui m’ont mis pratiquement sur la paille ( perte de l’entreprise, cautions …) et j’ai depuis peu repris un travail pour notamment payer des avocats dans les procédures encore ‘’sauvables’’ ou celle contre l’UDAF.
Après un nouveau coup du sort, qui succédait à douze années de lutte acharnée pour défendre mes droits et mes intérêts et ceux des autres (j’ai été notamment président d’une association de défense) je suis tombé gravement dépressif en quelques jours au point où je ne pouvais même plus m’exprimer oralement…
Personne autour de moi ne pouvait suivre mes démêlès juridiques et gérer la petite entreprise de rénovation que j’avais créé en 2004 c’est donc contrait et forcé, conscient de mon état et de ses conséquences, que j’ai fait cette démarche volontaire.
Mais si je suis intervenu sur ce forum c’est parce que le sort des autre tutélaires, maintenant que j’ai découvert le monde des tutelles et de ses abus, m’interpelle surtout dans la mesure où, comme je l’ai souligné dans la plainte que j’ai déposée à leur demande auprès de la DDCSPP, ce sont tous les intervenants auxquels j’ai été confronté à commencer par leurs instances dirigeantes qui ont failli et que cela a duré près de dix huit mois malgré mon attitude, mes écrits et mes recours, comme s’ils jouissaient d’une impunité totale.
J’ai donc fait le constat qu’il ne s’agissait pas d’un cas isolé dans leurs personnels ou d’un dysfonctionnement passager.et je crains pour tous les autres tutélaires souvent sans moyens, sans facultés…donc sans défenses et un fait divers récent dans la presse locale me l' a rappelé.
Pour mon cas je vais me battre en vue obtenir raison en justice, ce qui pourrait amener des changements de comportement dans cet organisme et bénéficier indirectement aux malheureux tutélaires, en plus de réparer mon lourd préjudice.
J’aimerai aussi, obtenir le témoignage de personnes ayant tenté la même démarche envers leur tuteur, pour encourager ceux qui sont dans la peine à réagir.
Autodidacte, d’origine plus que modeste, je suis pour cela d’autant plus sensible à l’injustice, et prêt à la combattre.GGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Dim 16 Sep 2012 07:16
Al lire dernier nunèro de QUE CHOISIR SPECIAL sur les droits des plus faibles et en particulier mesures de protection de justiceGGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Dim 16 Sep 2012 18:52
QUE CHOISIR SPECIAL de septembre est consacré en grande partie aux mesures de justice et à la protection des personnes vulnérables en généralGGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Mar 7 Avr 2015 09:47
Bonjour,
Je suis toujours à la Rrecherche témoignages de tutélaires, d'anciens tutélaires, de familles ou de proches de tutélaires de l' UDAF de la MEUSE.
Vous pouvez me contacter à ggdebar(arobase)aol.com.GGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Jeu 6 Sep 2012 13:53
Je souhaite faire profiter tous les tutélaires de l'expérience malheureuse que j'ai vécu pendant prés de dix huit mois de tutelle de l' UDAF de la Meuse et surtout des ressources pour faire face aux abus, dysfonctionnement ... tout ce qui peut moralement ou financiérement être péjudiciable aux majeurs sous protection!!!
Tout d'abord j'ai demandé à bénéficier d'une mesure de tutelle pour ensuite devant l'étendue des dégâts en obtenir la maine levée.
j'ai déposé plainte auprès de la Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection de la Personne, je compte engager une action au civil directement contre l'assureur de mon ex-tuteur, et déposer plainte auprès du Procureur Général contre tout d'abord l'UDAF de la Meuse mais aussi toutes les institutions départementales chargées de la protection des personnes et qui allertées n'ont pas réagi à commencer par le Procureur.
Vous trouverez ci aprés la liste des griefs retenus contre cette association en regard notamment du Code Social et des Familles, il se pourrait que d'autres organismes semblables commettent les mêmes fautes ou entorses.
Je dois contribuer à ce que cesse de telles pratiques, parce qu'elles m'ont m'amené en enfer.
GRIEFS CONTRE L’UDAF de la Meuse
(Outre ceux exposés dans une lettre du 31 mars 2010 déposée contre accusé de réception au greffe du TI de Bar le Duc, non exhaustivement et sous toutes réserves)
Préliminaire :
J’ai été placé sous tutelle en mars 2009 après en avoir fait la demande en octobre 2008 alors que j’étais victime d’une très grave dépression qui m’a valu trois mois d’hospitalisation dans un établissement spécialisé à Dijon, j’étais alors chef d’entreprise et cette dernière a du être placée en liquidation judiciaire et surtout j’avais de nombreux dossiers juridiques à traiter pour des sommes dépassant les 200 000 €.
A partir de février 2010 j’ai retrouvé mes facultés et notamment ma combativité ce qui m’a permis d’entreprendre les démarches pour obtenir en septembre 2010 la levée de ma tutelle.
-----------------------------
Griefs :
Je n’ai reçu aucune information sur mes droits et mes obligations de tutélaire, aucun document individuel de prise en charge, ni de charte du tutélaire je n’ai eu connaissance d’aucun règlement intérieur, alors que ce sont des obligations légales ; aucun affichage (lui aussi obligatoire) n’est réalisé dans les locaux accessibles au public.
L’absence totale de manifestation des employés de l’UDAF, le manque complet de subside (alors que je perçois mensuellement ma pension d’officier de carrière) de mars jusqu’en novembre 2009 m’a conduit à un isolement total, privé de toute vie sociale, totalement exclu du monde, me laissant avec des angoisses qui m’ont amené au bord du suicide en août 2009, heureusement je m’en suis ouvert auprès de ma famille qui a alors subvenu à mes besoins avec une grande générosité et beaucoup de sollicitude.
Je n’ai rien reçu pendant huit mois et seulement cent trente euros entre novembre 2009 et mars 2010 (malgré toutes mes réclamations verbales et écrites) Autre exemple lorsque je suis allé en avril 2010 pour un mois en maison de repos dans les Alpes, l’UDAF m’a fait parvenir avant mon départ un mandat cash de 40 €, alors que mes frais de transport et d’hospitalisation me demandaient une avance de plus de 700 €.
Les personnels de l’UDAF jusqu’en mars 2010 se sont toujours refusé à honorer sans raison valable mes demandes légitimes notamment concernant un subside mensuel, leur comportement avec moi a toujours était hautain, à la limite méprisant (comme je l’ai constaté avec certains autres tutélaires).
Aucun de mes dossiers juridiques n’a été traité, bien que le délégué à la tutelle qui m’a été alors affecté soit le spécialiste en cette branche de l’UDAF, mais il a été placé en arrêt maladie en juin 2009 et manifestement n’a pas été remplacé pour mon suivi.
La seule procédure en cours n’a pas été suivie et donc les fautes de l’avocat qui me représentait en première instance n’ont pas été relevées et m’ont privé de toute chance m’obligeant à faire appel.
Les autres procès à intenter rapidement (avant avril 2010) ne l’ont pas été et leurs objets sont maintenant prescrits.
De plus une procédure qui concernait une indivision à laquelle j’appartenais n’a pu être engagée puisque c’est l’UDAF qui avait reçu le dossier contenu dans mes affaires et qui a refusé de le remettre à l’indivision malgré plusieurs demandes expresses, ce dossier a finalement été rendu en janvier 2011 alors que la prescription quadriennale devant la juridiction administrative pour engager la responsabilité de la CODECOM de Bar le Duc survenait en décembre 2010.
Le contentieux portait sur une somme de 140 000 €
Mon patrimoine n’a été établi qu’au bout de treize mois (au lieu des trois prévus par la loi).
Il n’a pas été correctement cerné puisque notamment un compte titre en actions n’a pas été pris en compte et laissé en déshérence avec les conséquences que cela implique.
Aucune assurance n’avait été prise pour mon véhicule dont ils ignoraient l’existence.
A la suite de la vente d'une maison en novembre 2009 une somme de 40 000 € est restée entre les mains de l’UDAF qui n’a pas jugé utile de la placer sur un compte rémunérer, malgré la notification du juge des tutelles, là encore perte de plus de 10 mois d’intérêts.
Aucune requête n’a été déposée au juge pour la vente de ma propriété, de plus là encore l’UDAF a toujours agi en contre temps en repoussant pour des raisons infondées la signature du compromis survenu en juillet, elle a d’ailleurs failli faire capoter la vente.
En conséquence de tous ces retards cette dernière a eu lieu le 13 décembre alors que la signature devait survenir avant le 31 août, plus de trois mois d’intérêts sur 100 000 € soit plus de 1000 € de manque à gagner.
Après la levée de ma tutelle l’UDAF a continué à recevoir mon courrier par défaut d’information de sa part puisque elle n’a prévenu aléatoirement qu’un certain nombre de correspondants, elle a même en juin 2011 (neuf mois après la levée de la mesure) acceptée une LRAR qui m’était adressée.
Plus encore en octobre 2010 elle a reçu par huissier une signification de jugement qui m’était destinée, heureusement que mon avocat m’avait lui aussi envoyé l’ordonnance du jugement sinon je n’aurai pas pu faire appel.
Je n’ai toujours pas reçu, malgré mes demandes réitérées, le relevé final de mon compte et les pièces communiquées précédemment sont totalement abscondes puisque codées
-------------------------------
Conclusion :
L’UDAF a non seulement totalement manqué, envers ma personne, à sa mission qui est de contribuer au confort moral et matériel de ses tutélaires mais a eu une attitude qui confine à la maltraitance en me refusant tout subside et en ignorant totalement mes recours puisque malgré toutes mes réclamations notamment écrites, après les refus oraux, je n’ai jamais eu aucune réponse de leur part.
Lorsque j’ai retrouvé à partir de février 2010 mes facultés, ils m’ont « pourri » la vie par leurs refus systématiques et leur propension à s’immiscer sans discernement er surtout sans concertation dans les affaires que je pouvais traiter alors qu’ils savaient pertinemment que j’étais en état de le faire, puisque monsieur XXXXX mon délégué à la tutelle revenu aux affaires l’avait confirmé au cours d’une audience devant la Chambre du Conseil du TC de Ba r le Duc
Après leur totale ignorance de mon existence c’est leur incapacité à prendre en compte l’évolution de mes capacités totalement retrouvées et à en référer au juge qui m’a gravement nui.
Ils savaient pourtant depuis le premier jour que j’étais un cas atypique et la nomination d’un délégué spécialisé en droit le prouve amplement si besoin en était.
Ils ont menti à la députée sarthoise, intervenue à la demande de ma sœur ainée fort inquiète de ma profonde déchéance qu’elle a pu constater en août 2009, par une réponse lénifiante se retranchant derrière le secret professionnel.
Après m’être battu avec le greffe du tribunal et obtenu la levée de ma tutelle en septembre 2010 je suis retombé en dépression à partir de novembre en découvrant les conséquences de l’inaction de l’ UDAF dans mes dossiers juridiques et les prescriptions qui étaient tombées ; cette nouvelle phase dépressive à durer plus de dix huit mois pour se terminer en avril dernier après avoir connu ces trois mois d’hiver particulièrement pénibles où tous les jours j’ai appelé la mort ; cette phase m’avait amené progressivement à me renfermer sur moi même, à quitter ma compagne, après avoir consulté nombre psychiatres et tenté une hospitalisation au CHS de Fains à me retrancher dans un appartement pour ne plus voir personne, sans me laver, en ne sustentant un minimum grâce à une de mes sœurs qui me ravitaillait pendant mon sommeil.
Je ne pouvais même pas consulter car je savais dans mon subconscient que s’il m’était ordonné des médicaments ils serviraient avant tout à mettre fin à mes jours.
J’impute cette rechute surtout à l’UDAF de la Meuse mais aussi aux institutions locales que j'ai en temps opportun alertées : juge des tutelles, procureur (deux dépôts de plaintes sans suites, le premier pas enregistré), les services départementaux de contrôle et sociaux qui ne sont pas intervenus pour faire cesser cette situation qui m’était alors fortement dommageable et dont personne ne connaissait alors l’issue.
C’est essentiellement grâce à ma compagne et à ma famille que j’en suis sorti et que j’ai retrouvé mes facultés, néanmoins les conséquences de cette situation continuent à me «pourrir » la vie, à me prendre beaucoup d’énergie, de temps et d’argent pour faire valoir mes droits, dénoncer ces abus et tenter de ‘’récupérer’’ de ces dix huit mois de manquements de l’UDAF
Bon courage à tous ,
et si je peux aider, je le ferai fraternellement.GGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par laura » Mar 11 Sep 2012 06:49
je trouve votre commentaire curieux ! Ce n'est pas donne a tout le monde d'etre chef d'entreprise, gerant ou proprietaire. L'UDAF ou les gerants de tutelles s'adresse a des gens "incapables" alors comment voulez vous qu'eux memes soient "capable" de gerer et faire fructifier ! Eux ils n'assurent que le courant et n'ont aucune strategie de croissance ou autre. Il n'y a que soit meme qui puisse s'occuper de "ses" affaires, vous etiez vraiment en mauvaise situation pour croire que qui que ce soit puisse s'occuper mieux que vous de vos affaires. Si on pouvait deleguer a n'importe qui ca se saurait !laura Message(s) : 80Inscription : Lun 31 Mars 2008 19:37
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Mar 11 Sep 2012 14:05
Tout d’abord merci pour votre commentaire et je viens vous apporter quelques précisions.
Même s'il est surement vrai que je suis un cas atypique pour ce genre d’organismes de tutelles, cette mesure est là pour ‘’protéger’’ des personnes en ayant le besoin et ne s’adresse pas à un public ‘’particulier’, mais si ils ont pris leurs ‘‘habitudes’’
Etre chef d’entreprise ou gérant et propriétaire (sous emprunts) ne sont pas des signes extérieurs de richesse, mais surtout le résultat d’économies, de volonté d’entreprendre et d’aléas de la vie, pour ma part un mixte des trois ; je suis devenu fin 95 gérant et associé d’une TPME de transport routier de marchandises par pure obligation morale suite à un drame dans ma famille et là mes ennuis ont commencé dès ma prise de fonction avec notamment par la suite deux dépôts de bilans frauduleux ( dont celui de BOURGOIN le ‘’roi du poulet’’) qui m’ont mis pratiquement sur la paille ( perte de l’entreprise, cautions …) et j’ai depuis peu repris un travail pour notamment payer des avocats dans les procédures encore ‘’sauvables’’ ou celle contre l’UDAF.
Après un nouveau coup du sort, qui succédait à douze années de lutte acharnée pour défendre mes droits et mes intérêts et ceux des autres (j’ai été notamment président d’une association de défense) je suis tombé gravement dépressif en quelques jours au point où je ne pouvais même plus m’exprimer oralement…
Personne autour de moi ne pouvait suivre mes démêlès juridiques et gérer la petite entreprise de rénovation que j’avais créé en 2004 c’est donc contrait et forcé, conscient de mon état et de ses conséquences, que j’ai fait cette démarche volontaire.
Mais si je suis intervenu sur ce forum c’est parce que le sort des autre tutélaires, maintenant que j’ai découvert le monde des tutelles et de ses abus, m’interpelle surtout dans la mesure où, comme je l’ai souligné dans la plainte que j’ai déposée à leur demande auprès de la DDCSPP, ce sont tous les intervenants auxquels j’ai été confronté à commencer par leurs instances dirigeantes qui ont failli et que cela a duré près de dix huit mois malgré mon attitude, mes écrits et mes recours, comme s’ils jouissaient d’une impunité totale.
J’ai donc fait le constat qu’il ne s’agissait pas d’un cas isolé dans leurs personnels ou d’un dysfonctionnement passager.et je crains pour tous les autres tutélaires souvent sans moyens, sans facultés…donc sans défenses et un fait divers récent dans la presse locale me l' a rappelé.
Pour mon cas je vais me battre en vue obtenir raison en justice, ce qui pourrait amener des changements de comportement dans cet organisme et bénéficier indirectement aux malheureux tutélaires, en plus de réparer mon lourd préjudice.
J’aimerai aussi, obtenir le témoignage de personnes ayant tenté la même démarche envers leur tuteur, pour encourager ceux qui sont dans la peine à réagir.
Autodidacte, d’origine plus que modeste, je suis pour cela d’autant plus sensible à l’injustice, et prêt à la combattre.GGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Dim 16 Sep 2012 07:16
Al lire dernier nunèro de QUE CHOISIR SPECIAL sur les droits des plus faibles et en particulier mesures de protection de justiceGGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Dim 16 Sep 2012 18:52
QUE CHOISIR SPECIAL de septembre est consacré en grande partie aux mesures de justice et à la protection des personnes vulnérables en généralGGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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Re: DEPOTS DE PLAINTE CONTRE UDAF 55
par GGDEBAR » Mar 7 Avr 2015 09:47
Bonjour,
Je suis toujours à la Rrecherche témoignages de tutélaires, d'anciens tutélaires, de familles ou de proches de tutélaires de l' UDAF de la MEUSE.
Vous pouvez me contacter à ggdebar(arobase)aol.com.GGDEBAR Message(s) : 10Inscription : Mer 5 Sep 2012 18:17
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