vendredi 24 novembre 2017

Le curateur est aux abonnés absents !

Le curateur est aux abonnés absents

Nadège B vient de me contacter :  Il y a deux ans sa soeur a été placée sous curatelle sans qu'aucune des deux n'en n'ai été avertie.
Elles ne savent ni qui a fait cette demande ni à quel titre.

Elles ne savent pas non plus s'il s'agit d'une curatelle simple ou renforcée.

Le curateur n'est jamais allé voir sa ' protégée ' dans sa maison de retraite et refuse tout communication avec la soeur de la  ' protégée ".
L'appartement que possédait la soeur de Nadège va être vendu, sur décision du curateur, sans que celui-ci justifie sa décision et cette vente a été décidée contre la volonté des deux soeurs.
L'appartement a été vidé sur ordre du curateur  et le déménageur prétend avoir tout mis à la poubelle !
La soeur de Nadège a contacté le curateur qui l'a envoyée balader ... Elle est alors allée déposer une plainte au Commissariat.
L'officier de police qui l'a reçue lui a dit : " Nous recevons souvent des personnes comme vous, abusées par le tuteur. Mais nous n'avons pas le droit de prendre de plainte contre le curateur ou le tuteur ! Oui, ces gens-là sont des charognards, nous le savons mais il est impossible de se défendre contre eux. Madame, c'est un fait de société ! Il faut vous y faire !
 No comment....

7 commentaires:

  1. oui c'est de toute évidence un classique d'être aux abonnées absents
    puis de porter plainte pour harcèlement .Pour ma part j'ai été mise 9 heures en garde à vue

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  2. avec menace d'être moi même placée sous curatelle

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  3. Oui, ce sont leurs sales méthodes

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  4. Ils ne vous répondent pas et ensuite, si vous insistez ils vous accusent de harcèlement ! Quelles ordures

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  5. De quelle couleur voulez-vous que soient nos gilets? En ce qui me concerne: ROUGE SANG.

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  6. Il y a au moins deux parallèles avec ce que nous relate maité espesundurein dans ce qu’on vécut des connaissances et ma maman et moi-même :

    1) Quand les assistants sociaux (une sale engeance aussi, croyez-moi) ont arraché ma maman de chez elle et de mes bras avec les chiens du Pouvoir, un de ces flics s’est penché sur elle qui était en pleurs en lui disant, comme pour la réconforter, du moins lui donner une « raison » : « Ç ‘est l’Etat qui veut ça, Madame. ». Telle qu’il fut dit par un policier à Maité : « C’est un phénomène de société. Il faut vous faire une raison. » Ainsi, le phénomène de société, c’est l’Etat. La résignation devant l’arbitraire étatique est aussi un phénomène de société, ainsi ma voisine flamande, pensionnée depuis longtemps, à laquelle j’avais fait part de cette problématique, en précisant que cela pourrait leur arriver aussi, me répond : « On ne sait rien faire à ça. »

    2) Germaine et Danièle (voir le document Etudes de cas de victimes exemplaires du système d’administration et de biens de la personne:

    http://www.danielpisters.be/doc/AdminBiensPersonne/Daniel%20Rivet/Etudes%20de%20cas%20de%20victimes%20exemplaires%20du%20systeme%20d%20administration%20de%20biens%20et%20de%20la%20personne.pdf

    sur la page de mon site web : http://www.danielpisters.be/adminBiensPersonne.php

    Déplacée dans un home, elles ne se trouvaient plus dans leurs appartement respectifs pour constater qu’on y avait tout vidé et en ce qui concerne Danièle, mis en vente libre dont un livre précieux, pour un prix dérisoire.

    3) La menace d’être mis moi-même sous administration n’a jamais été formulée et ne s’est jamais profilée à l’horizon sinon celui de mon imagination tourmentée. Mais la fiction dépasse la réalité. J’ai soixante ans, toujours en pleine force physique et intellectuelle (et paraissant au moins dix ans de moins), mais je vis (entre autres) des indemnités de ma mutuelle. Pour l’Etat, je suis donc improductif, malgré mon CV bien rempli de compétences et d’expériences en informatique (absolument authentiques contrairement aux exagérations et même affabulations que l’on rencontre trop souvent dans les CVs). Mais c’est du passé, donc ça ne compte plus sauf si je me remets en selle (et encore…). Je suis donc un inutile et c’est comme si j’étais déjà pensionné. Et si je me rebelle contre ce système, du statut d’improductif, je passe à leurs yeux à celui de contreproductif. Je suis donc une cible presque idéale, et je n’ai pas de famille, personne hormis ma compagne, pour me défendre (ma maman est sous administration). Je suis une proie potentielle, mais je ne les intéresse pas vraiment, car, même si je suis l’héritier unique, la maison appartient à ma maman, et donc virtuellement à l’administrateur qui fait ce qu’il veut. Il me trouve néanmoins sur son chemin, avec un avocat.

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