mardi 22 octobre 2024
Monsieur Henri Solana, licencié en droit, vos menaces ne nous impressionnent pas
Monsieur Henri Solana, licencié en droit, vos menaces ne nous impressionnent pas.
Il y a quelques jours vous avez laissé un « commentaire » au pied d’un article de notre site , article relatif aux calomnies que Monsieur Jean-Pierre Bacquet répand sur mon compte depuis des années pour se venger de ce que je n’ai pas voulu de lui dans mon association.
Dans votre commentaire _ un long pavé accusatoire d’une trentaine de lignes, bourré d’accusations fausses et de menaces de poursuites judiciaires à peine voilées, vous nous reprochiez, entre autres, de « dénigrer la bêtise des personnes sous tutelle et d’incitation à la haine envers une personne en situation de handicap ! »
J’ai d’abord cru qu’il s’agissait d’un texte rédigé par Monsieur Jean-Pierre Bacquet en raison des calomnies et du ton victimaire de votre commentaire ou plutôt de votre « réquisitoire ».
J’ai cherché à m’assurer que vous étiez bien l’auteur de ce texte et je suis parvenue à trouver vos coordonnées. Lorsque je vous ai joint au téléphone vous avez refusé tout dialogue, me coupant sans arrêt la parole _ Thierry un des contributeurs du site a écouté la conversation _ Vous avez reconnu, Monsieur Henri Solana, licencié en droit, que, sur un site qui contient plus de 3.000 articles consacrés aux dysfonctionnements tutélaires vous en avez lus deux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! , ceux consacrés à Mr Jean-Pierre Bacquet car , c’est ce que vous m’avez expliqué, il vous est difficile de lire des sites Internet après votre opération de la cataracte.
Permettez-moi de vous dire que pour quelqu’un qui est licencié en droit, puisque vous jugez bon de faire suivre votre signature de cette mention, il n’est pas très prudent de proférer les accusations gravissimes que vous avez proférées et encore moins de sous-entendre d’éventuelles représailles judiciaires.
Pour terminer, je vous signale 4 petites choses :
1° Mr Bacquet n’est pas représentatif des 800.000 personnes sous tutelle ou curatelle dont vous nous accusez de dénigrer la bêtise alors que notre site, qui existe depuis 2016 est un long plaidoyer de 3.000 en faveur de ces personnes .
2° Mr Bacquet n’est plus sous tutelle depuis plusieurs années.
3° Mr Bacquet a toujours dit que sa tutelle n’était pas due à un quelconque handicap mental, mais à une intense douleur aux jambes.
4° Mr Bacquet m’a donné l’autorisation de reproduire et de publier toutes ses publications Facebook.
Bref, Monsieur Henri Fontana, vos menaces ne m’impressionnent pas et ne me feront pas taire. Je m’étonne d’ailleurs que le licencié en droit que vous êtes n’ait pas réalisé que leur caractère diffamatoire pourrait bien se retourner contre vous.
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Je ne vous ai pas menacé, mais rappelé vos obligations. J'ajoute que publier sur un site la soi-disant plainte que vous prétendez déposer contre une personne qui a été sous tutelle ou curatelle est une diffamation, qu'elle soit justifiée ou non (de toute façon, elle sera classée sans suite).
RépondreSupprimerLa CNIL devra apprécier la portée de vos comportements qui sont indignes de la mission que vous prétendez soutenir.
Je ne vais pas entrer dans vos dérives pitoyables.
Mon signalement ne sera pas déposé de suite, car j'ai d'autres priorités, mais sachez que l'action que j'ai menée contre l'Education nationale a obligé Claude Allègre, alors ministre, à débloquer 73 millions de francs en 1999 pour couvrir les frais que son ministère mettait abusivement à la charge des parents, somme déjà portée à 82 millions pour l'an suivant et constamment renouvelée depuis -sur ce point, voir le rapport "Toulemonde", disponible sur Internet, sur la gratuité de l'enseignement, page 13. Vous y trouverez mon nom).
Le recours que j'ai rédigé pour le compte d'une amie, madame Duvignères, décédée à 47 ans avant que la décision soit rendue, contre le ministère de la Justice (ajout illégal de l'APL aux ressources des demandeurs à l'aide juridictionnelle) figure aux "grands arrêts de la jurisprudence administrative".
Les décisions que j'ai obtenues contre la commission nationale de l'informatique et des libertés (qui ont conduit un employé de "l"administration centrale" du ministère de la justice à me demander de l'assister, gratuitement, pendant plusieurs années pour faire évoluer le régime des fichiers de police) a entraîné au moins 60 pages de commentaires connus de moi, dont 40 d'un professeur qui m'a été présenté comme une sommité par un journaliste juridique parisien qui m'avait téléphoné pour m'interroger à cet égard.
Je suis incapable de dire combien de condamnations des services publics j'ai fait prononcer.
Même si, comme vous, je dénonce parfois certains abus publiquement (et j'ai ainsi distribué devant le Palais de justice de Bordeaux un pamphlet -déposé au dépôt légal-, dans lequel j'écrivais du procureur de la République, entre autres : "quand on est incompétent, on s'informe ; quand on est incapable on se démet" -si vous en voulez une copie, je vous la tiens à votre disposition), je préfère agir lorsque j'en ai l'occasion, le temps et les moyens financiers.
Cette distribution m'avait néanmoins permis, entre autres, grâce à une conférence tenue ce jour là, d'obtenir le soutien écrit d'Alain Minc (alors président du directoire du journal le Monde) à ma proposition, qualifiée pourtant d'extrémiste à l'école nationale de la magistrature de Bordeaux (il n'y a encore qu'une, mais il faut vous le préciser), selon laquelle il était nécessaire que les justiciables puissent saisir eux-mêmes le Conseil supérieur de la magistrature d'une plainte contre un juge. La proposition a abouti à modifier, après de multiples péripéties, la Constitution (sous le ministère de Rachida Daty, alors que je l'avais demandé à Mme Guigou).
Je pourrais continuer pendant longtemps.
Votre site pourrait être méritoire si, comme l'avait recommandé la prénommée Rachida Daty, s'agissant de l'exercice de la Justice, il était tenu avec modestie et par suite respect des personnes.
Sa tenue actuelle est indigne. Et le dire n'est pas une diffamation, mais une critique, mais vous semblez ne même pas être capable de faire la distinction.
La place pour commenter étant limitée, je suis obligé de revenir sur vos arguments.
RépondreSupprimer1 - La question n'est de savoir combien d'articles ont été publiés, mais de déterminer (comme pour un journal "papier") si un ou plusieurs dépassent les bornes de ce qui peut être dit ou écrit.
2 - Le fait que M. Bacquet vous ait autorisée à publier ses publications ne vous permet pour autant pas de l'insulter (ou le dénigrer).
3 - Le fait que cette personne ait pu, selon ce que vous dites, être mise sous protection en raison d'une intense douleur aux jambes est bien, si cela est vrai, le véritable scandale que vous devriez dénoncer.
4 - En effet, le temps où (jusqu'en 2009) on pouvait mettre un adulte en tutelle ou curatelle pour "prodigalité" est terminé.
5 - La Cour de cassation exige (et vous devriez le savoir) que la personne dont on demande qu'elle soit protégée soit atteinte d'une affection physique ou mentale constatée par un médecin inscrit sur la liste légale.
6 - Mais, allez-vous sortir, ce monsieur a bien eu une affection, puisqu'il avait très mal aux jambes.
7 - Sauf que la Cour de cassation exige qu'il soit constaté, par le médecin inscrit, que l'intéressé est en plus incapable d'exprimer sa volonté.
8 - On ne peut donc pas ouvrir une tutelle ou une curatelle parce que quelqu'un a simplement mal aux jambes.
9 - De plus, par un arrêt que vous devez connaître (c'est pourquoi je ne vous en donne pas les références), la Cour avait jugé que le juge des tutelles avait excédé ses pouvoirs en mettant une personne en curatelle en se référant à l'avis du médecin traitant, au rapport du mandataire spécial et aux propos tenus par cette personne lors de l'audience, alors que le certificat médical établi par le médecin "inscrit" ne faisait état d'aucune altération des facultés mentales ou corporelles de l'intéressé.
10 - Ce qui devrait justifier votre hargne dans l'affaire Baquet ce devrait être qu'il ait pu être mis sous tutelle ou curatelle s'il était, comme l'impose la Cour de cassation, capable d'exprimer ses volontés et qu'il n'ait pas été affirmé par le médecin légalement désigné par le juge que cette expression était défaillante.
11 - En outre, mais cela dépasse le cas de ce monsieur, si une sauvegarde de justice est justifiée, le juge, affirme la Cour de cassation (là encore je vous laisse trouver cet arrêt que vous devriez parfaitement connaître) ne peut pas désigner un mandataire spécial sans avoir justifié sa décision par une analyse motivée de la situation de la personne en cause : la Cour de cassation refuse que toute sauvegarde de justice donne systématiquement lieu à une telle désignation dont une autrice réputée faisait ressortir la violence pour ceux qui la subissent.
13 - Je viens de rappeler ces règles à une juge bordelaise qui avait pris une ordonnance, le 13 septembre 2024, sur le visa d'un médecin non inscrit sur la liste, lui rappelant aussi qu'un tel visa l'exposait, elle juge, à 15 ans de réclusion criminelle et 225 000 euros d'amende pour faux et usage de faux en écriture publique (fausse qualification du prétendu médecin comme étant inscrit sur la liste alors qu'il n'y est pas et n'y a jamais été).
14 - Pour l'heure, sa carrière étant en jeu (et même pire), la juge a rectifié son ordonnance, affirmant que ce n'était qu'une "erreur matérielle", mais comme la personne en cause n'a aucun trouble intellectuel (même s'il nous faut consulter le dossier), l'affaire, résultant d'une tentative d'une fille d'expulser sa mère de sa maison pour se l'approprier et vendre cette maison (je passe les détails) devrait prochainement se dégonfler.
15 - La Cour de cassation a jugé, le 20 décembre 2012 (pourvoi 11-28.202) que celui qui accepte d'informer, même bénévolement, a lui-même l'obligation de s'informer afin d'informer en pleine connaissance de cause.
16 - Vous auriez avantage à appliquer ce principe avant de raconter n'importe quoi.
Encore une avalanche de propos complètement à côté de la plaque . Je n'ai pas à juger de savoir si la tutelle de Mr Bacquet était ou non justifiée. Et, si elle ne l'était pas, comme vous le prétendez pourquoi n'a t il pas défendu ses arguments devant un Tribunal ???? Je vous réponds en publication principale dans la publication suivante.
SupprimerUne fois de plus Monsieur Henri Solana vous venez de déverser, sur mon site, une avalanche d'accusations concernant mes propos à l'égard de Monsieur Jean-Pierre Bacquet.
SupprimerAprès avoir étalé de façon assez vaniteuse toutes les victoires que vous avez remportées dans tel ou tel procès _ de façon à m'impressionner et à me faire taire- vous écrivez ceci
"1 - La question n'est de savoir combien d'articles ont été publiés, mais de déterminer (comme pour un journal "papier") si un ou plusieurs dépassent les bornes de ce qui peut être dit ou écrit.
2 - Le fait que M. Bacquet vous ait autorisée à publier ses publications ne vous permet pour autant pas de l'insulter (ou le dénigrer)."
Déjà je remarque une certaine jouissance malsaine chez vous, à la limite de la perversité, en insistant aussi lourdement que vous pourriez me nuire à partir d'un seul mot, même si mon site comporte plus de 3000 articles... Je ne suis pas experte en psychiatrie mais je trouve qu'il y a quelque chose de très étrange dans votre comportement, et dans votre acharnement à me nuire en jouant les chevaliers servants au service de Mr Bacquet qui, depuis des années me couvre , lui, d'insultes, d'injures publiques et de calomnies grotesques et infectes, tout cela me paraît pathologique. Veuillez excuser ma franchise.
En attendant pourriez-vous me citer très précisément lequel de mes articles concernant Mr Bacquet " dépasse les bornes de ce qui peut être dit ou écrit" ????????????
Est-ce que, par exemple , faire remarquer à quelqu'un qu'écrire " La vieille elle comprend qu'elle ne pourra plus se faire baiser" est profondément vulgaire dépasse les bornes de ce qui peut être dit ?????????????????????????????????? Et, il ne s'agit là que d'une des innombrables injures publiques que Monsieur Bacquet déverse sur moi depuis des années...
Deuxièmement si j'ai bien compris vous m'accusez de " dénigrer " Monsieur Bacquet quand je recopie les calomnies infectes de Mr Bacquet à mon encontre ??????????????????????????????????????????????????? Je ne comprends pas très bien. Mr Bacquet lui-même m'a autorisée à publier ces calomnies... Lui demander de les étayer serait le dénigrer ??????????????????????????
Donc si je comprends bien votre point de vue, Mr Solana , Mr Bacquet peut lui m'inonder d'injures publiques et déverser toutes les calomnies qu'il veut et moi je ne dois pas porter plainte car selon vous cette plainte serait classée sans suite ?????
_Ni demander à Mr Bacquet d'étayer ses accusations fausses contre moi ?????????????
AH BON ??? Donc , dans ce pays on peut calomnier en paix sans que la personne calomniée n'ait le droit de réagir, c'est bien cela Mr Solana, licencié en droit, c'est " ferme la ou il va t'arriver des bricoles ?" c'est bien ça Monsieur Solana ??