mercredi 22 août 2018

La symbolique des trois points maçonniques

La symbolique des trois points maçonniques





Lorsque j'ai reçu, il y a environ 6 mois la convocation pour ma mise en examen mon attention a été immédiatement attirée par la présence d'un signe assez curieux : trois points en forme d'équerre…

Je déteste l'anti maçonnisme primaire et je déteste les gens qui voient des symboles maçonniques partout.

Après tout, ce signe que j'ai vu sur le courrier de convocation est peut être un signe purement typographique, sans aucun rapport avec la franc-maçonnerie…

Je me pose quand même la question vu la façon selon moi très étrange dont mon procès va se dérouler…

Je crois que je n'aurai jamais de réponse à ma question…

Cela dit, je ne ramène pas tout à ma petite personne, la symbolique des trois points est intéressante en soi et c'est pourquoi je mets un lien vers un article très bien fait sur la symbolique des trois points







11 commentaires:

  1. quelquefois l'état utilise des sigles en guise de puissance et d'éthique.
    certain fond de placement ont la main sur bon nombres d'Entité.
    sous certaine couches se cache malheureusement des monstres .
    cherche et tu trouvera.

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  2. (I) Je suis primairement anti- francs-maçons. Je les rejette d’instinct. Mais je peux tenter de le justifier de façon un tantinet complexe. Cette secte n’a pu que régresser du Compagnonnage vers le Copinage et devenir une forme de corporatisme ouvert à tous vents. La franc-maçonnerie n’est plus depuis longtemps qu’un repaire de brigands tels que ceux qui sont mis en accusation sur ce blog. Les trois points… Thèse, antithèse, synthèse marquent les étapes d’une dialectique finalement conciliatrice des deux premiers points de vue, mais le débat se relance, en ce sens que le sommet redescend lui-même vers la base et devient la thèse à contredire, et ainsi de suite. De sorte que ces trois points assez ineptes devraient être remplacés par « @ », qui sur le clavier représente le mieux la spirale. Comme je suis le Grand Maître des Vortex, je m’empare des aujourd’hui de ce symbole et compte bien interdire à quiconque de l’utiliser, en particulier dans les adresses mail. Je suppose que cela ne devrait pas déranger trop de monde. La dialectique est un mouvement tourbillonnaire, et non simplement triangulaire. Selon un écho étrange (en provenance d’un collègue consultant en informatique à la CEE), une découverte scientifique aurait, en fin 2007 – début 2008, étayé mon intuition. Je parle « d’écho étrange » car le consultant IT en question n’est qu’un crapaud à peine capable, en coassant, de faire remonter une bulle de gaz nauséabond du fond d’un étang. Selon l’écho fait à cette découverte par le batracien gluant :

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  3. (II) A la pointe d’un vortex, si loin que l’on aille (top down) dans l’observation de ce phénomène de turbulences convergentes, il y a un triangle. C’est assez évident et la découverte scientifique ne fait que confirmer par l’observation ce qui relève de la logique géométrique la plus rudimentaire : pour former une figure, il faut au moins 3 points, de telle sorte que l’espace s’y résume, à la limite (au sens mathématique du terme et non au sens populaire où l’on dit « Mais il a raison à la limite… »). En effet, dans un vortex modélisé, l’espace se rétrécissant en tendant vers le centre d’une spirale ne peut plus exister qu’en fonction d’un minimum de moyen pour rester de l’espace : trois points formant le sommet d’un triangle sur lequel la 3ème dimension s’aplatit. Il ne reste plus qu’un espace, par définition à 2 dimensions, en forme de triangle et le plus petit possible, aux limites de l’observable, du moins de ce qu’il en est actuellement « en l’état de l’art ».

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  4. (III) Ce coassement du sauteur de nénuphars qui était tombé en faisant « plouf ! » par hasard sur un article sur la Toile entra en résonance avec mon obsession tourbillonnaire. Le message émit fortuitement par cet être incapable d’en mesurer la portée, se vrilla en quelque sorte dans mon écoute qui y était toute préparée.
    J’ai eu vers la même époque un autre écho d’un gars plus sympa qu’une saleté comme moi de consultant IT : un ancien tôlard (bref séjour derrière les barreaux, c’est souvent mieux d’être derrière que d’y être…) qui servait au bar d’un centre sportif. Je parlais avec le gérant et cuisinier (excellent !) de tourbillons qu’il avait observé sur les côtes de Bretagne (je vous en donnerai un jour la description très poétique, à condition que vous continuiez de haïr les tueurs ;). Le barman qui s’insinuait entre ses barreaux pour venir servir m’étonna :

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  5. (IV) Tesla aurait avancé qu’un tourbillon génère à sa pointe une force égale à la force nucléaire. Celle-ci (bien ou mal utilisée - question de point de vue) pourrait être utilisée pour fabriquer un genre nouveau de bombe atomique.
    Je me suis informé à ce propos :
    1) Sur la découverte scientifique évoquée par mon collègue consultant.
    2) Sur l’idée vorticiste de Tesla.
    En vain, la Toile est restée muette mais il est vrai que je n’y pas passé des heures.
    Les points 1 et 2 sont convergents, car le triangle à la base du vortex se situe évidemment aux limites de la matière. Il s’agit donc d’un vortex « idéal » auquel ne semble pouvoir parvenir que la modélisation numérique. Et encore… Cette épure n’est pas tout à fait nécessaire pour appréhender la puissance du phénomène. Il peut être dangereux de jouer avec des tourbillons. J’en ai fait l’expérience, étant petit, en en provoquant dans ma baignoire : l’un d’eux semblait avoir acquis une vélocité propre, pour ainsi dire, auto générative, rejoignant le rêve - ou le cauchemar - d’une toupie qui ne s’arrête plus : celui du mouvement perpétuel. J’ai eu peur lorsque j’ai vu dans l’eau transparente la trombe annelée s’avancer entre mes jambes tandis qu’elle continuait de s’évaser - en s’élargissant vers le haut. Mini docteur Frankenstein de la baignoire, j’ai eu l’impression terrifiante d’avoir perdu le contrôle du phénomène que j’avais créé.

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  6. (V) Selon le barman du centre sportif, Tesla avait fait des expériences en générant un vortex similaire dans une cuve remplie d’eau, un cylindre à la base duquel il aurait placé des capteurs d’énergie. Imaginez que des molécules d’eau s’entrechoquant puissent générer une force nucléaire. Il ne peut y avoir - ou du moins, il semble ne pouvoir y avoir - derrière cela qu’une sorte de figure ultime comme ce fameux triangle.
    Mais les francs-maçons volent bien trop haut pour s’abaisser à de pareilles observations, dans lesquelles ils ne manqueraient pas de voir à que(l)s point(s) la Preuve Même de ce que la pertinence de leur symbolique est fondée par une Grande Vision – absurde donc, car auto-référentielle, dans le genre « J’ai raison, car j’ai eu une Grande Vision de la Raison ».
    J’ai imaginé moi-même l’une ou l’autre expérience ne nécessitant même pas de capteurs (que je serais d’ailleurs tout à fait incapable de mettre en place, n‘étant ni physicien, ni même électronicien, et nul en mécanique des fluides). Un de mes lavabos, de l’eau chaude, de l’eau froide et une planche reposant à mi-hauteur du lavabo et je vous déclenche (fort probablement) le phénomène ou du moins une turbulence similaire ajustable pour qu’elle épouse le modèle tourbillonnaire au fil de « sucessive refinements – trial & error» de l’expérimentation et des conditions de celle-ci. Mais imaginez que j’obtienne mon vortex générant sa propre force aqua-cinétique et qu’il déborde – si j’ose dire – de mon lavaboratoire ?! Que le tourbillon m’aspire vers la dissolution de toutes les molécules de mon corps (au point que je fusionne avec mon lavabo) et continue de s’étendre – mais ça je m’en fous, après nous les mouches ! 😉 -, engloutissent la Terre, le Système Solaire et tout l’Univers, et les multivers avec, dans un G.G.P. (Grand Gloups ! Pistersien) comme ces trous noirs qui, théoriquement, pourraient être engendrés par un de ces LHC (Large Hadron Collider) que les physiciens théoristes et leur valets ingénieurs mettent en œuvre sans trop se soucier du désastre universel qu’ils pourraient provoquer (même chose qu’avec les premières expériences dans la foulée du projet Manhattan – que j’évoque ici mais sans le critiquer, bien au contraire). Je ne plaisante pas vraiment chère Dolaure Fleurande, car il me semble qu’avant de provoquer un phénomène, il faudrait s’assurer des limites de sa propagation qui, dans le cas du vortex, sont repoussés par une forme exponentielle de récursivité.

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  7. (VI) La symbolique maçonnique me fait rire. Trois points pour dire je ne sais même plus quoi au juste, comme « Sagesse, Force et Beauté ». Ah oui c’est ça ! On met une couche dorée d’idéal humain sur l’abstraction assez pauvre de la dialectique pour les nuls. Notez que Hegel lui-même était fort irrité par cette simplification trinitaire en ce que la thèse contient déjà l’antithèse, comme l’idée d’obscurité contient déjà celle de clarté et vice-versa, antinomie du concept etc. Pour en revenir à mes vortex, on peut pistériser Hegel (qui a raison), car la dialectique est un tourbillon formé par un triangle dont les points sont en rotation (puisque A = ( ( B = NON( A ) ) = ( C = ( A = B ) ) ) tandis que ces points A, B , C sont eux-mêmes des tourbillons. De sorte qu’un seul point suffit, qu’il soit A, B ou C. A est le triangle A,B,C ; B aussi et C de même.
    Bien évidemment, cette mise en abyme dialectique se ramène à une violation du tiers exclu (dont je vous ai parlé par ailleurs par rapport aux articles contradictoires du code civil belche) : A, le sommet = (B = C), les deux points à la base. Cette brume caricaturale de Fuzzy Logic représente évidemment les vapeurs de sauna dans lesquels les tuteurs peuvent se retrouver pour suer leur graisse accumulée grâce à leurs vols commis non seulement, bien sûr, par intérêt mais dans un esprit compétiteur. A savoir, par exemple : lequel d’entre eux a pu s’offrir le plus de grosses bagnoles au détriment de leurs proies en chaises roulantes, qu’ils pourraient d’ailleurs, S.I. (Suprême Ironie), écraser si elles étaient libres de circuler, quand ils ont bu trop de champagne.
    Nous revoici dans le concret des Miche Miche pavanant en jet-ski. Si l’on pouvait voir tous les êtres exsangues se noyer dans son glorieux sillage, toutes les têtes grises éclatées par la proue du jouet fendant les flots sur lequel il pose son gros cul, avec sa tête de Quasimodo hilare et replet.
    J’ignore selon quel grief émanant de cette meute aussi avide qu’hargneuse qu’est celle de ces avocats véreux qui dominent des juges complices, peureux comme ceux qui ont affaire à la mafia (excepté certains courageux comme en Italie), on vous accuse et de quoi. J’ai pris le train de vos articles en marche. Il faut dire que les passagers/lecteurs des premiers wagons ne disent pas grand-chose d’intéressant. Ne vaut-il pas mieux se trouver dans le dernier wagon et mieux regarder défiler le passage : une désolation, un désert où les sources sont taries et qui grouille de tarentules et de scorpions. J’y ai vu des caniches à huit pattes qui viennent, amitieux à en être craquant, flairer en vous la bonne affaire. J’y ai vu des otaries attendrissantes, oui, des otaries en plein désert nageant dans un mirage, et qui remuaient la queue amicalement avant de vous infliger une piqûre mortelle de scorpion. J’y ai vu… trois petits points. Si ce n’est qu’un coup de tampon égaré, il fallait le fabriquer ce tampon ! A votre place, je produirais cette empreinte devant le Tribunal. Sans prévenir, de façon impromptue, en vous prévalant de ce que, bien que vous ne puissiez prendre en considération un papier aussi malencontreusement entaché de signification déplaisante, vous témoignez de la mansuétude d’être venue, de vous être présentée.

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  8. (VII) Précisions par rapport à I-VI postés hier :
    1) Dans (VI), A = ( ( B = NON( A ) ) = ( C = ( A = B ) ) ), si C = ( A = B ) alors que B = NON(A), alors C = FAUX sinon C = VRAI et il y a violation du tiers exclu. Ce n’est pas aussi trivial puisque ces variables booléennes sont prises dans un mouvement, leurs valeurs respectives du moins font le « tour » du triangle, d’où ce mouvement tourbillonnaire dans la dialectique. Ce qui était VRAI avant le premier ne l’est plus après. De surcroît, il ne s’agit pas ici tant d’équivalence, d’égalité que de concordance, d’adéquation selon la modalité A du sommet qui réconcilie B et C à la base en trouvant dans ces ensembles de vérités (ou singletons – n’en contenant qu’une seule) une zone d’intersection, de gris (entre B blanc et C noir par exemple), de flou. A est une sorte d’interface logique entre B et C.
    2) Je dénigre les ingénieurs civils, polytechniciens. Il s’agit de généraliser encore moins qu’avec les avocats. Les avocats s’expriment généralement moins mal que les ingénieurs, mais ces derniers sont plus compétents dans leur secteur et même assez honnêtes dans leur étroitesse de vue. Ils croient en leurs erreurs. Je parle en fonction d’une longue expérience, mais limitée à la Belgique. J’ai toujours eu raison contre les ingénieurs qui essayaient de me supplanter sur le plan technique (en informatique) par voie managériale et c’est démontrable car je garde toujours toutes les preuves (échanges de mails etc.) Quant aux avocats (même si je n’en parle pas dans les points précédents), j’ai appris, avant d’avoir à me frotter à eux à cause de « notre » affaire, qu’ils sont généralement sournois, malhonnêtes et incompétents. J’ai eu une amie qui a dû interpeller le bâtonnier du barreau de Bruxelles car son avocat combinait derrière son dos avec celui de la partie adverse pour lui extorquer un maximum de pognon. Le bâtonnier aurait fait mine de faire à ces coquins une petite remontrance, de leur tapoter sur les doigts devant ce vol manifeste, mais mon ex-petite amie n’en a jamais récupérer le moindre cent. En dehors des mises sous tutelle, des nombreux cas de clients spoliés sont venus étayés ma mauvaise perception empreinte de quasi-conviction. Mon père avait pris pour une affaire d’importance mineure un jeune avocat qui prit peur en apprenant le nom de celui de la partie adverse, un « vieux » plus aguerri et assez renommé dans le microcosme flamand de cette région. L’avocaillon (comme on dit « moinillon » pour un novice) recommanda alors à mon père de laisser tomber l’affaire et de payer (quelques 2000.000 FB à l’époque) pour de soi-disant détériorations (comme un trou laissé par un clou dans un mur, la place plus claire indiquant celle d’un tableau) déterminées par un expert. Il s’agissait d’une villa louée dont mon père avait payé le loyer avec une irréprochable régularité pendant toutes les années que nous avions vécues là. La malhonnêteté est incarnée trois fois dans ce cas de figure : celle de la propriétaire, celle de l’expert et celle des deux avocats (plus la lâcheté du plus jeune des deux). Adolescent parvenant (péniblement) à l’âge adulte, cela me conforta dans ma méfiance à l’égard des gens en général quelle que soit leur profession. Je ne pense pas qu’il y ait grand-chose à attendre d’eux.

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  9. (VIII) Erreur de chiffres (sales chiffres !) dans VII.2 : mon père a payé 200.000 FB (5000 EUR), pour rien. Comme Fortis banque lui a fait perdre un peu plus de dix ans avant sa mort, 4 millions de FB (100.000 EUR moins des poussières).
    Comment fonctionne la Justice dans ce genre de cas ? Je m’épargne une recherche sur la Toile pour avoir des précisions en termes de chiffres et même d’orthographe du nom du groupe. Plusieurs milliers, sinon dizaines de milliers de personnes spoliées par Fortis, parfois jusqu’à la ruine, se sont regroupées en Belgique derrière un ou deux « grands » avocats au sein du groupe Deminor. Je ne sais rien quant à la qualité du travail de ce ou de ces avocats (mais j’imagine que l’affaire dû être juteuse si l’on multiplie un horaire minimal peut-être même symbolique par le nombre de personnes à défendre – mais je ne sais pas comment ça se passe dans les cas d’affaires collectives). Alors comment fonctionne la Justice qui aurait pourtant reconnu à plusieurs reprises les torts des banquiers qui ont leurrés leurs clients et dissimulés la baisse vertigineuse des intérêt impliquant la perte de leurs capitaux ?

    La Justice a fait trainer les choses pendant dix, après quoi il y a prescription et on n’en parle plus. Les conclusions s’imposent d’elles-mêmes. Je n’ai donc pas à les énumérer parmi mes propres hypothèses. Banquiers, politiciens et magistrats avancent main dans la main pour les plonger dans vos poches. Ce sont les pilotes et co-pilotes des avions de AIRCRASH qui peuvent contenir jusqu’à des centaines de milliers de passagers.

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