mardi 20 juin 2017

La tutrice de la mère Monique l'accuse de vol !

La tutrice de la mère Monique l'accuse de vol !



_curatelle de ma mère_à la Maison des Associations à Genève, concernant les dénis de justice (genevois et vaudois): Le curateur-avocat de ma mère n’a pas apprécié mes critiques quant à sa décision de placer ma mère de force en EMS, lui causant 2 maladies nosocomiales : des infections pour lesquelles ma mère tremblait de fièvre, était clouée au lit : catastrophique - criminel - pour sa santé. Pour se venger de mes critiques, le curateur-avocat s’est permis de m’accuser de voler objets et meubles de ma mère lors de mon déménagement le 26 octobre 2016, alors qu’il était normal que je prenne avec moi mes effets personnels. J’étais venue en 2012 aider ma mère comme proche-aidante : mon travail a été rémunéré de manière misérable (900.- par mois), alors que j’ai évité pendant près de 4 ans l’EMS à ma mère. Loin de récompenser ce lourd travail, vexé par mes critiques, le curateur m’emmerde avec sa plainte pénale pour prétendu vol. En fait, il se contredit de manière évidente par sa lettre du 31 octobre 2016 en écrivant à la Justice de paix, je le cite : « Pour le surplus, il m’est apparu que Mme Monique Golay avait laissé dans la villa les meubles et objets tels que j’avais pu les voir au mois de mai 2016 ». J’ai mentionné cette contradiction évidente au Ministère public lors de ma plainte pénale contre le curateur pour calomnie : les procureurs ont balayé cette contradiction et ont rejeté ma plainte, sans m’entendre, violant ainsi l’article 5 du Code de procédure pénal : « 5 [L’autorité] s'efforce, par des questions claires et des injonctions, d'obtenir des déclarations complètes et de clarifier les contradictions : » cela n’a pas été fait. Aussi, les procureurs ont enfreint l’article 2 du Code de procédure pénal : « 2 [Les autorités] se conforment notamment: a. au principe de la bonne foi; b. à l'interdiction de l'abus de droit; c. à la maxime voulant qu'un traitement équitable et le droit d'être entendu soient garantis à toutes les personnes touchées par la procédure; » En plus de ses contradictions évidentes, le curateur-avocat ne se réfère pas à l’inventaire des biens établi par le notaire après le décès de mon père. Après que je lui en ai fait la remarque, comme un enfant gâté le curateur m’écrit par émail du 5 février 2017: « « Vous avez emporté des objets qui ne sont pas sur la liste. Point. » Mais si les objets que j’ai emportés ne sont pas sur cet inventaire, cela signifie soit que 1.2.1 ces objets n’ont pas de valeur; 1.2.2 ces objets m’appartiennent depuis longtemps : comment le curateur va-t-il prouver que les objets, qui ne sont pas sur l’inventaire, ne m’appartiennent pas vu que j’ai habité près de cinquante ans dans la maison? Malgré mes preuves du non-fondé - pour ne pas dire la stupidité - de la plainte pour vol du curateur, les procureurs rejettent mes nombreuses plaintes sans m’entendre. C’est contre la loi, c’est un déni évident de droit.
Le curateur m’a accusé de voler 2 tableaux présumés d’Albert Anker (non signés). J’ai des photos qui montrent ces tableaux au sous-sol de la maison : je les ai déposées aujourd’hui au Tribunal fédéral en leur rappelant que je me suis plainte le 28 février 2017 et le 12 mars 2017 pour calomnie du curateur. Les procureurs vont jusqu’à écrire leur fausse réalité procédurale que je n’aurais pas déposé plainte pour calomnie : c’est un gommage judiciaire de la calomnie.
Comment obliger les juges vaudois à appliquer la loi, notamment au vu de la calomnie que me fait subir le curateur ? Le 27 février 2008, Monsieur Thomas Minder avait recouru au Code des Obligations comme projectile lancé à la tête du patron d’UBS Marcel Ospel. Afin que les procureurs de première instance n’enfreignent plus les articles 3 à 7 du Code pénal en rejetant mes plaintes sans m’entendre, dois-je recourir à ce Code pénal comme projectile contre la tête de ces procureurs ? 
Une idée pour acquérir de la visibilité : Ceux qui se battent contre les curatelles abusives, qui sont des protectorats juteux des personnes vulnérables âgées et riches, devraient réunir leurs forces avec l’oeuvre de charité de la célèbre romancière JK Rowling qui, elle, se bat contre les protectorats juteux des personnes vulnérables jeunes et pauvres. Cette écrivaine dénonce les abus de mettre en institut ou orphelinat les jeunes pauvres avec la promesse aux parents que leurs enfants, au moins, auront à manger. Le drame, c’est que ces orphelins finissent dans un trafic d’humains - prostitution. Concernant les âgés argentés, ils finissent dans un trafic de morts vivants organisé par les EMS et tout le système des médecins-curateurs-juges qui se partagent leur
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