Un exemple, entre dix mille de la profonde stupidité des anti-tutelles primaires

Un exemple, parmi tant d’autres, de la bêtise monumentale des ‘ anti-tutelles primaires’ Voici le dialogue sur lequel je suis tombée par hasard ce matin en lisant la page Facebook d’un brave type qui s’est mis en tête de pourfendre les abus tutélaires alors qu’il est d’une ignorance crasse sur le sujet des tutelles. Cet ignare étale sans vergogne tous les clichés les plus éculés sur les tutelles et se vautre dans la basse diffamation. Ce pauvre type doit se prendre pour un lanceur d’alerte et le bienfaiteur des « pauvres victimes des tutelles »… Le pire c’est le ton pontifiant et prétentieux qu’il prend pour débiter ses âneries et ses lieux communs à deux balles. Donc voici le copier-coller de cette conversation débilissime. ( les prénoms ont été modifiés) _ « Alain Bonjour Est-ce que vous savez que les associations tutélaires peuvent vendre le logement des protégés sans leur consentement et que la justice le cautionne ? ----------------------------------------------- _Robert « Cautionne ? » C’est ce qu’on appelle un euphémisme, c’est-à-dire une expression adoucie destinée à atténuer ou dissimuler un problème bien plus grave. Alain, tu devrais plutôt dire « favorise ». La justice favorise de telles opérations car elle distribue des bakchichs à tous les intervenants, juge en tête ! C’est le commerce de brigands le plus juteux dans ce système judiciaire corrompu, tu parles ! Ce sont des malversations qui peuvent rapporter facilement des millions d’euros en cash et j’ai ainsi plusieurs exemples sous le coude. Comment crois-tu que j’ai réussi à écrire plus de vingt bouquins sur la justice, hein ? Et oui ! C’est une économie parallèle qui rapporte bien plus que le trafic de drogue en France et je vous ai souvent estimé les « bénéfices » réalisés : au moins quinze fois le salaire d’un juge. Des centaines de personnes dans cette justice pourrie touchent ces bakchichs avec la bénédiction et la protection de la sacro sainte LOI : le juge, le psychiatre, l’avocat, le notaire, l’administrateur judiciaire, etc. Qui arrêtera cette gabegie ? Peut-être le mouvement social du 7 mars prochain… » _______________________________________________________________________________