Si le système tutélaire n'a cessé de se dégrader au fil du temps c'est qu'il n'a pas rencontré de résistance.
Donc de deux choses l'une :ou bien, malgré ses imerfections le système tutélaire convient à une majorité de " protégés "
ou bien les protégés sont trop passifs... évidemment il serait stupide d'incriminer les personnes sous tutelle-curatelle il leur est presque impossible de se défendre contre le "mammouth tutélaire " premièrement par ce qu'ils sont affaiblis par différents handicaps, l'âge, la maladie, des traitements médicamenteux lourds deuxièmement parce qu'ils n'ont pas d'argent. c'est le tuteur qui tient les cordons de la bourse. Or l'argent est le nerf de la guerre.
Mais ces victimes ont des proches et c'est à ceux-ci d'agir : or beaucoup râlent mais très peu agissent.
Il existe pourtant un moyen de se faire entendre et de médiatiser les affaires : internet.
Il ne faut compter ni sur le système judiciaire ni sur les avocats donc que reste -t -il internet.Nous avons la chance de vivre en 2017 et les technologies modernes permettent aux gens de se regrouper, de se rencontrer, de se fédérer et d'agir ensemble.
Les réseaux sociaux peuvent être un levier d'action phénoménal : il suffit de savoir les utiliser : c'est à dire de publier des posts qui soient informatifs et constructifs avec
soit des témoignages.
soit des articles de loi qui permettraient aux victimes de mieux se défendre
soit des suggestions.
Facebook pourrait être bien autre chose qu'un simple défouloir.
Quant aux blogs ou aux sites Internet qui dénoncent le système tutélaire on peut hélas les compter sur les doigts d'une seule main. Dommage...
Les gens attendent toujours que les journalistes médiatisent leur petite affaire personnelle alors qu'Internet leur offre la possibilité de médiatiser eux-même leur affaire...
Pendant la deuxième il y avait juste une toute petite minorité de " résistants " ils n'avient ni portable ni Internet et pourtant ils sont parvenus à leurs fins.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Pseudo :
Mail ou phone :