dimanche 18 décembre 2016

deux ans ferme pour le tuteur escroc

 Deux ans ferme pour le tuteur escroc

A noter que ce tuteur a pointé du doigt le manque de contrôle de la part du Juge des tutelles

La question que l'on doit se poser est pourquoi les Juges des tutelles ferment ils les yeux sur les exactions des tuteurs   et quand un tuteur escroc est pris la main dans le sac, le Juge des tutelles est il interrogé par la justice .

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2011/11/25/deux-ans-ferme-pour-un-tuteur-escroc


chambre correctionnelle de la cour d’appel de Nancy a été inflexible contre l’ancien gérant de l’Abiepa (Association pour le bien-être des personnes âgées). Elle a largement augmenté la sanction que lui avait infligée le tribunal correctionnel. Robert Bagorski, le gérant, a été condamné à quatre ans de prison dont deux années sont assorties d’un sursis avec mise à l’épreuve pendant trois ans. Il devra en outre indemniser ses très nombreuses victimes et ne pourra plus exercer toute activité professionnelle ou associative en rapport avec une gestion financière. Pour expliquer leur sévérité, les juges rappellent que les faits de prise illégale d’intérêts et de détournements de fonds reprochés au gérant ont duré très longtemps et que ses victimes étaient toutes des personnes particulièrement vulnérables. En première instance, Robert Bagorski avait écopé d’une peine de quatre ans avec sursis et mise à l’épreuve pendant trois ans.
Au début des années 2000, le gérant a vidé les comptes et dépouillé plus d’une centaine de ses protégés placés sous tutelle ou curatelle, les plongeant souvent dans des situations difficiles, non-paiement des loyers et factures des maisons de retraite, disparition de certaines sommes d’argent, achats inconsidérés d’appartements, etc.
Pour sa défense, Robert Bagorski avait mis en avant le directeur incompétent de sa structure, un logiciel de comptabilité, des juges des tutelles manquant de clairvoyance, l’administration qui n’a rien vu. Bref, tout le monde sauf lui.

1 commentaire:

  1. Scandalisée, mon père ingénieur à la retraite sous curatelle disposait d’une maison de 3 étages à Damelevieres plus terrain et avait hérité d’un tiers de la maison de ses parents, lors de son décès m’a sœur et moi même n’avons rien pu récupérer, en ce qui me concerne il y avait une valeur sentimentale sur la première maison…

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