Je suis l'Admin et j'ajoute une petite précision, je sais qu'il est normal qu'ily ait un certain délai pour que le tuteur débloque les fonds et je le comprends. En revanche cela aurait été plus vite si Daniel avait avancé les fonds mais le gros problème c'est que lorsqu'il l'a fait dans le passé IL N'A jamais été REMBOURSE !!!!!!
Une honte, comme d'habitude avec les tutelles. J'imagine un amateur ou une amatrice de lecture. Non seulement, elle n'a pas de quoi s'acheter un livre sans se retreindre sur "l'essentiel", mais si elle peut s'en acheter, elle n'a pas de lunettes pour le lire. La lecture représente pourtant une merveilleuse possibilité d'évasion mentale lorsque l'on est incarcéré comme pauvre majeur protégé ou comme véritable criminel comme le montre si bien le roman de Marc Dugain: Avenue des Géants. C'est une question d'équilibre. On peut reconstruire son esprit par la lecture (et par l'écriture), on peut le restructurer pour lutter dans les pires moments. Le système des tutelles doit donc être dénoncé par cette exemple notamment comme anti-culturelle, comme un outil d'aculturation (pour forcer l'adhésion à la kulture dominante des tutelles) et de trépanation passive, d'occultation concertée de tout ce qui peut entretenir les facultés intellectuelles du majeur protégé.
Je suis l'Admin et j'ajoute une petite précision, je sais qu'il est normal qu'ily ait un certain délai pour que le tuteur débloque les fonds et je le comprends. En revanche cela aurait été plus vite si Daniel avait avancé les fonds mais le gros problème c'est que lorsqu'il l'a fait dans le passé IL N'A jamais été REMBOURSE !!!!!!
RépondreSupprimerUne honte, comme d'habitude avec les tutelles. J'imagine un amateur ou une amatrice de lecture. Non seulement, elle n'a pas de quoi s'acheter un livre sans se retreindre sur "l'essentiel", mais si elle peut s'en acheter, elle n'a pas de lunettes pour le lire. La lecture représente pourtant une merveilleuse possibilité d'évasion mentale lorsque l'on est incarcéré comme pauvre majeur protégé ou comme véritable criminel comme le montre si bien le roman de Marc Dugain: Avenue des Géants. C'est une question d'équilibre. On peut reconstruire son esprit par la lecture (et par l'écriture), on peut le restructurer pour lutter dans les pires moments. Le système des tutelles doit donc être dénoncé par cette exemple notamment comme anti-culturelle, comme un outil d'aculturation (pour forcer l'adhésion à la kulture dominante des tutelles) et de trépanation passive, d'occultation concertée de tout ce qui peut entretenir les facultés intellectuelles du majeur protégé.
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